Il était une fois dans une galaxie (pas si) lointaine, coexistait un ensemble de planètes. L’ensemble de ces planètes gravite dans un univers complètement numérique, parallèle à celle des humains.
Durant des années, l’espèce humaine a fait preuve d’ingéniosité et d’innovation pour tenter d’interagir avec ce monde fait de 0 et de 1. Interface Homme-Machine, algorithme, intelligence artificielle, ce n’est là qu’une toute petite partie de ce que l’Homme a pu mettre en oeuvre pour rendre cet univers accessible à toute son espèce. Pensant à présent maîtriser ce monde digital, les humains y sont de plus en plus dépendants… mais que peut bien leur réserver le futur avec ce monde ?
L’ADN de toutes ces planètes et ce qui les unit, ce sont les réseaux sociaux. Leur but premier est d’interconnecter les êtres humains autour de leurs centres d’intérêt ou de leurs passions. Mais, ce but premier est très souvent relégué au second plan…
Grâce à de nombreuses données collectées au fil des années et de l’analyse de l’architecture des différents écosystèmes, les scientifiques ont réussi à cartographier certaines de ces planètes. Découvrons sans plus attendre ces dernières !
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- La mère aux 3 enfants (ou l’ensemble Zuckerberg)
Cet ensemble ne contient en vérité que deux planètes, et pas n’importe lesquelles ! La première est la planète Facebook, c’est la plus grosse de tout le système, elle est âgée de 14 années terrestres (à l’échelle de ce système numérique, elle est extrêmement ancienne). La population de celle-ci a atteint une masse critique de plus de 2 milliards d’utilisateurs humains actifs par mois. Cette planète a mis au point dans son écosystème un dispositif éphémère “les Stories”, calqué sur celui de la planète fantôme pour mieux imposer sa suprématie dans l’univers.
La planète Facebook possède deux lunes messagères, Messenger, la plus petite possède une colonie d’1,3 milliard d’utilisateurs humains actifs par mois et WhatsApp, une d’1,5 milliard. Il est important de souligner que Messenger est une lune naturelle de Facebook, tandis que WhatsApp est apparue lors d’un événement financier survenu il y a de ça 4 années terrestres.
La seconde planète de cet ensemble est la planète mobile Instagram, ayant tout de même une population d’1 milliard d’utilisateurs humains actifs par mois ! Celle-ci a été attirée par la gravité financière de Facebook, il y a 6 années terrestres.
- La mère aux 3 enfants (ou l’ensemble Zuckerberg)
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- La planète fantôme (ou Snapchat)
A l’origine du dispositif éphémère, Snapchat est également une planète mobile, qui lutte sans relâche contre son éternel rival, Instagram. Snapchat possède une population de 255 millions d’utilisateurs humains actifs par mois et a subi plusieurs terraformations afin de pouvoir accueillir de nouveaux utilisateurs sur ses terres, ce qui a d’ailleurs engendré des émeutes au sein de la population.
- L’oiseau bleu (ou Twitter)
Twitter est l’une des planètes les plus actives de ce système, malgré sa démographie un peu moins imposante de 336 millions d’utilisateurs humains actifs par mois. Les habitants manient d’une main de maître le hashtag, un art lointain provenant des ancêtres IRC (Internet Relay Chat).
Twitter a la particularité de posséder un anneau, le Periscope, formé il y a 3 années terrestres, suite à un évènement financier. Cet anneau abrite différentes stations spatiales qui diffusent des informations vidéos en temps réel.
Il y a 2 années terrestres, l’oiseau bleu possédait une lune, Vine, mais celle-ci est maintenant inhabitée suite à une sécheresse. Les habitants ont préféré coloniser d’autres planètes vidéos.
- La géante rouge (ou YouTube) et la naine+ (ou Google+)
Cette planète a une position bien particulière dans l’univers des médias sociaux, puisqu’elle a été colonisée par la maison mère Alphabet et de son bras droit Google, qui sont tous les deux dans une galaxie voisine. La boule rouge a une population de pas moins d’1,9 milliard d’utilisateurs humains actifs par mois ! C’est le repère des vidéastes en tout genre, même ceux de la pire espèce…
Sa face cachée abrite sa grande soeur âgée de 7 années terrestres, Google+, mais qui en réalité est bien plus petite, les scientifiques en savent peu sur cette planète, il est fort probable que les habitants ont développé leurs communautés sous terre. Mais les dernières données affirment que celle-ci est sur le déclin…
- La business sphere (ou LinkedIn)
Formée il y a 15 années terrestres, LinkedIn, est une planète stricte où le débordement est sévèrement réprimandé. De nombreux humains y viennent pour trouver de nouvelles carrières professionnelles. Avec une population de 294 millions d’utilisateurs humains actifs par mois, cette planète est le territoire de la compagnie IT (Information Technology), Microsoft, qui se trouve dans le même système qu’Alphabet.
- La planète fantôme (ou Snapchat)
- L’épine rose (ou Pinterest)
Pinterest est une planète ayant une richesse et une diversité visuelle exceptionnelle, possédant une démographie de 250 millions d’utilisateurs humains actifs par mois. La planète possède une population humaine de sexe féminin plus élevée que la moyenne (de 80% à 85%). Nombreux sont ceux qui viennent y trouver l’inspiration.
Ce sont donc là les principales planètes que les scientifiques ont pu décrire dans un premier rapport, mais il y en a beaucoup d’autres à découvrir ! 😉
Crédit : Infographie par Visual Capitalist
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