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L’École des Réseaux Sociaux : le jeu éducatif qui protège les enfants des dangers du numérique

Comment sensibiliser les plus jeunes aux usages et enjeux du numérique ?

Les enfants de primaire sont plongés dans les interactions sociales en ligne dès leur plus jeune âge au travers de jeux en ligne.  Parce qu’ils ne sont pas préparés à faire face à des situations qui les dépassent pour lesquelles ils n’osent parfois pas parler à leur parent, les enseignants et les parents se doivent de les accompagner dans un usage responsable des outils numériques.

Comment aborder ce sujet en classe ou à la maison ? 

L’École des Réseaux Sociaux propose un jeu éducatif et des activités à réaliser en classe ou en famille. Les enfants peuvent débattre grâce à l’une des 59 cartes-questions et ceux qui animent le jeu ont accès à des conseils pour aborder des pistes de réflexion.

Découvrir le jeu de cartes

L’École des Réseaux Sociaux propose des ressources pédagogiques simples et ludiques accessibles à tous permettant d’animer des discussions avec les enfants autour de questions sociétales pour évoluer en sécurité dans le monde digital.

Daniel Jasmin, cofondateur de l’association.


Nous devons donner aux élèves les outils qui leur permettront de s’épanouir sur Internet, d’en faire bon usage et de se protéger contre les risques qui existent.

L’École des Réseaux Sociaux apporte aux professeurs et aux parents les ressources pédagogiques nécessaires pour sensibiliser les enfants aux usages et enjeux du numérique.

Initiative française, la diffusion de ce service innovant en Europe démontre le rôle de premier plan que peuvent jouer les edtechs françaises pour favoriser un Internet plus sûr pour les enfants.

Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports

Les milliers d’enseignants qui mènent, depuis deux mois, des activités à partir de ces ressources sont unanimes (note moyenne de 4,8/5 ⭐) quant à l’intérêt de cette démarche :

    « J’ai été très satisfaite du jeu de cartes qui a vraiment été efficace en classe pour discuter et débattre. » Audrey F., enseignante en CM2.  

    « Merci pour toutes ces ressources que vous apportez aux enseignants et parents. Ce sont de précieux supports pour notre accompagnement auprès des élèves et pour les protéger face à l’évolution des réseaux sociaux et d’internet dans notre société. » Arthur D., enseignant en CM1.

    « C’est une très bonne initiative car je n’aurais pas forcément pensé à aborder l’usage des réseaux sociaux avec les élèves, il y a beaucoup de questions ce qui permet d’aborder largement le sujet. » Roxane A., enseignante en CM2.

    « Continuez comme ça, ce que vous faites est d’une grande aide pour éduquer les enfants aux dangers d’internet. Merci ! » Fabien S., enseignant en CP.

    « Bravo pour votre travail qui est de qualité et adapté aux enfants et adolescents, bravo pour la lisibilité du site et le côté pédagogique. » Laetitia L., enseignante en CM2.

L’École des Réseaux Sociaux anime des communautés de partage de pratiques d’enseignants sur Instagram et Facebook et propose des tutoriels sur sa chaîne YouTube. Elle réalise également des formations auprès d’animateurs et d’associations intervenant en milieu scolaire.


Démarrée en France, cette initiative européenne d’intérêt général se déploie désormais en Pologne, Italie, Espagne et Angleterre.

L’École des Réseaux Sociaux


Thrive Leads, le plugin incontournable pour capturer des emails

Photo de Torsten Dettlaff provenant de Pexels

Plus de 75 % des visiteurs de votre site le quitteront pour ne jamais revenir, d’après Blogging Wizard. Thrive Leads vous permet de contrer cette statistique effrayante et de réussir à faire revenir vos visiteurs en construisant votre liste email.

“Money is in the list”. Vous connaissez cette expression ? Il est temps de vous y mettre tout de suite avec Thrive Leads !


Qu’est-ce que c’est Thrive Leads ?

Thrive Leads est un plugin WordPress conçu par l’entreprise Thrive Themes, qui promet une construction simple et efficace de votre liste email.

Spécialisé dans l’optimisation des conversions sur WordPress, Thrive Themes propose de nombreuses fonctionnalités pour faciliter la constitution de votre liste. 

Pop-up, widget, ruban… Les choix sont multiples pour un taux de transformation optimal !

À noter : ce plugin ne vous permet pas d’envoyer des emails aux contacts récoltés via les formulaires.

Vous avez, pour cela, besoin d’un autorépondeur comme Mailchimp ou Active Campaign, par exemple. Il suffit ensuite de connecter les deux plateformes, ce qui se fait de manière très simple.

Voici d’ailleurs la liste de tous les logiciels compatibles avec Thrive Leads :

Source : Thrive Themes

Vous trouverez ce dont vous avez besoin, sans aucun doute ! 


Créer des formulaires avec Thrive Leads  

Il est possible de configurer 10 types de formulaires avec Thrive Leads.

➔ Lightbox 

C’est une fenêtre pop-up qui s’affiche sur votre contenu, en attirant l’attention de vos lecteurs.

Oui, le pop-up est un formulaire de capture agressif, car il interrompt l’internaute dans sa lecture. Mais non, vous ne devez pas avoir peur de l’installer. 

La lightbox est incontournable et son taux de conversion souvent plus élevé que celui des autres formulaires. 

Lightbox en place sur le site Le Labo du Rédacteur Web

De plus, Thrive Leads permet de configurer des pop-up en 2 étapes : 

  • L’utilisateur fait d’abord un choix entre 2 possibilités. Par exemple : “Voulez-vous recevoir mon template gratuit ? Oui ou Non”.
  • Si l’utilisateur a cliqué sur “oui”, il peut alors entrer son email.

➔ Widget

Vous pouvez ajouter un formulaire d’inscription Thrive Leads à n’importe quelle zone widget de votre site web, par exemple la sidebar ou le footer.

Source : widget sidebar sur Le Labo du Rédacteur Web

➔ Ruban

Le formulaire de type ruban s’affiche en haut ou bas de page, de manière horizontale et reste présent tout au long de la navigation de l’internaute, même s’il scrolle vers le bas de la page.

Source : ruban en 2 temps sur le site Apprendre le SEO ensemble

Discret, il est parfaitement adapté pour un affichage sur mobile.

➔ In-line

Comme son nom l’indique, ce formulaire est inséré dans le contenu de vos pages ou articles, automatiquement, à l’endroit où vous voulez.

Formulaire in-line sur le site Le Blog du Rédacteur

➔ Post footer

Celui-ci ne s’insère pas dans le contenu de votre article, mais à la fin. On peut supposer que le lecteur qui arrive à la fin de votre contenu l’a apprécié. Aussi, placer un appel à l’action à cet endroit peut être vraiment pertinent.

Post footer sur le site Le Labo du Rédacteur Web

➔ Slide-in 

Petit pop-up qui se glisse dans un coin de l’écran, le slide-in reste discret et ne gêne pas la lecture de l’internaute.

Source : Thrive Themes

➔ Screen filler

Comme le dit Thrive Themes, le screen filler est un des formulaires les moins “ignorables”. En effet, il va recouvrir entièrement le contenu de votre site, ce qui vous garantit d’attirer l’attention du lecteur. 

Source : Thrive Themes

Néanmoins, cette variante de pop-up est plutôt agressive : à utiliser avec modération !

➔ Scroll mat

Ce formulaire ressemble au screen filler, car lui aussi recouvre complètement l’écran de l’internaute et pousse le contenu vers le bas. Ainsi, lorsque l’internaute navigue vers le bas de page, le scroll mat disparaît petit à petit.

Source : Thrive Themes

➔ Content locking 

Le content locking permet de masquer certaines parties de vos contenus aux utilisateurs de votre site. Pour bénéficier du contenu entier, ils doivent entrer leur adresse email.

Attention, cependant, à bien les informer sur l’usage de leurs données lorsqu’ils entrent leur adresse pour accéder au contenu (voir plus loin pour plus de détails sur le RGPD).

➔ Shortcode

Les shortcodes sont de petits bouts de code bien pratiques ! Après la création et personnalisation de votre formulaire de capture, vous n’avez qu’à copier-coller le code là où vous souhaitez insérer le formulaire.

Source :  interface Thrive Leads sur Le Labo du Rédacteur Web

Combien ça coûte ? 

Le tarif de Thrive Leads a récemment évolué. Aujourd’hui, pour utiliser ce plugin de capture email, vous devez souscrire à la Thrive Suite.

Elle contient, en plus de Thrive Leads, 8 autres outils comme Thrive Architect, le constructeur de pages, ou encore Thrive Optimize, pour lancer des A/B tests sur vos pages. La Thrive Suite coûte 19$ par mois, en payant à l’année.

RGPD et capture d’emails : comment être conforme ?

Depuis mai 2018, le règlement général sur la protection des données (RGPD) a été renforcé dans le domaine de la collecte de données personnelles, ce qui touche directement à la collecte d’emails et à la génération de leads.

Soyez vigilants à ce que les formulaires de captures mis en place sur votre site web soient bien conformes.

Pour cela, vous devez :

  • informer l’internaute sur la manière dont ses données vont être utilisées
  • permettre à l’internaute de lire votre politique de confidentialité
  • l’informer de la possibilité de se désinscrire dès qu’il le souhaite

De plus, si plusieurs usages sont prévus pour les données collectées, l’internaute doit aussi en être informé et avoir la possibilité de choisir les usages qu’il autorise, ou non.

Par exemple, l’utilisateur peut choisir de s’inscrire à la newsletter d’une marque sans vouloir recevoir de communications publicitaires de ses partenaires. Ainsi, il pourra cocher une seule case sur les 2 proposées : celle de l’inscription à la newsletter.

À savoir également : l’usage de case pré-cochée est désormais interdit. En effet, d’après l’article 4 du règlement européen, le consentement doit être « libre, spécifique, éclairé et univoque ». Les cases à cocher vierges témoignent donc du consentement volontaire de l’internaute.


En résumé, pourquoi choisir Thrive Leads

  • Une interface très facile d’utilisation, même pour ceux qui n’aiment pas la technique
  • La possibilité de créer de beaux formulaires en quelques clics
  • Les fonctionnalités supplémentaires comme le lazy load des formulaires et les rapports ultra détaillés
  • La possibilité de TOUT personnaliser : le design des formulaires, l’affichage sur desktop et/ou mobile, les pages à exclure…
  • Le A/B testing, pour voir vraiment ce qui marche sur votre site

Vous souhaitez construire et agrandir votre liste email ? Thrive Leads est le plugin qu’il vous faut ! 😉

Asking Franklin : pour découvrir les vraies requêtes que font les internautes sur Google

Apporter de la valeur est aujourd’hui un des principaux moyens pour avoir de la visibilité. Pour cela, beaucoup de spécialistes préconisent de s’appuyer sur des leviers comme la création de contenu et l’optimisation du référencement naturel. 

Cependant, ce n’est pas si simple ! Pour créer du contenu, il faut sans arrêt avoir des idées et il faut s’y connaître un minimum pour optimiser son SEO.  Heureusement, des outils existent pour aller dans ce sens-là et nous vous en présentons un nouveau aujourd’hui : Asking Franklin.

C’est quoi Asking Franklin ?

Asking Franklin est la solution idéale pour découvrir toutes les requêtes des internautes associées à un mot-clé sur Google. Et elle est 100% française ! 🐓

L’utilisation est très simple : vous rentrez le mot-clé de votre choix dans la barre de recherche et l’outil se charge de faire le reste. 

Sous une forme circulaire ou sous la forme d’un tableau, l’outil vous donne accès à des questions, comparaisons, prépositions et mots relatifs associés au mot-clé choisi.

Une fois les résultats affichés, vous pouvez exporter ces résultats en fichier CSV ou PNG.

Découvrez ce que recherchent les internautes d’autres pays 

Asking Franklin bénéficie également d’une fonction multilingue.
Basé au départ sur la langue française, vous pouvez désormais choisir la langue dans laquelle vous voulez que vos résultats apparaissent ainsi que le pays de recherche de ces derniers.

Les pays à disposition sont : la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie, l’Espagne, la Suisse, les Etats-Unis et le Canada. Et les langues disponibles sont le Français, l’Anglais, l’Allemand, l’Espagnol et l’Italien. Ainsi, vous pouvez par exemple afficher les résultats en anglais provenant de la Suisse.

Voici une vidéo vous expliquant le fonctionnement du multilingue.

https://boulevardduweb.com/wp-content/uploads/2021/02/Video-Multilingue-Asking-1.mp4

Un support 100% bordelais !

Bien sûr Asking Franklin bénéficie également d’un support par mail, mais surtout d’un chatbot (situé en bas à droite sur la page d’accueil). Beaucoup d’entreprises utilisent ce genre d’outil mais le font gérer par un robot.

Chez Asking Franklin, ce dernier est bel et bien géré par un humain. Posez votre question sur le chatbot Asking Franklin et un membre de l’équipe se chargera de vous répondre dans les 5 minutes qui suivent votre demande.

Cas d’usage : Comment éviter le syndrome de la page blanche avec Asking Franklin ?

Imaginons que vous teniez un blog dans la niche de la mode et que vous soyez à court d’idées. Comment Asking Franklin pourrait vous être utile ? 

Si on tape le mot-clé “Vêtement” on obtient des résultats comme : “vêtement qui gratte solution” ou “quelle vêtements pour ma morphologie”. 

Tous les résultats que vous fournit Asking Franklin sont une source inépuisable d’opportunités de rédaction et de prise de parole.
Fini le fameux syndrome de la page blanche ! Vous avez désormais accès à énormément de ressources et d’idées de contenus, des mots-clés connexes pour travailler votre cocon sémantique, votre longue traine…

Vous pouvez trouver des idées de sujets que vous n’avez pas encore traité ou écrire sur des sujets peu connus aux yeux du grand public et devenir un des premiers à traiter un sujet en particulier. Vous trouverez également les façons dont s’expriment les internautes pour pouvoir axer vos articles autour de certains mots-clés qui boosteront votre référencement.

Les tarifs ?

Souvent comparé à son homologue AnswerThePublic, Asking Franklin est l’alternative française, optimisée et plus abordable. Trois offres sont présentées sur le site d’Asking Franklin :

  • Une offre gratuite, avec trois requêtes possibles par jour
  • Une offre mensuelle à 49€ / mois sans engagement
  • Une offre annuelle à 468€ ( soit 39€ / mois )

Découvrir Asking Franklin


SEO et Covid-19 : adapter sa stratégie de référencement

Photo de Ivan Samkov provenant de Pexels

Nombre d’entreprises ont été frappées de plein fouet par la crise de la Covid-19. Si les deux confinements n’ont pas épargné les commerces physiques, les e-commerces ont dû eux aussi prendre des mesures radicales et revoir leurs stratégies marketing.

Covid-19 et SEO : comment adapter sa stratégie ?

En effet, depuis le début de la pandémie en décembre 2020, de nombreux changements dans les habitudes de consommation ont été constatés. Les clients s’adaptent à leur nouveau mode de vie, cela se ressent dans les chiffres d’affaires des secteurs fortement impactés et dans les trends Google comme ici avec la courbe du search interest pour la requête « télétravail ».

De nombreux domaines ont été considérablement impactés par la crise et les confinements que ce soit positivement ou négativement comme le démontre l’évolution du search interest pour la recherche « billets d’avion ».

Le constat est le suivant : absolument tous les commerces ont vu leurs situations changer à cause de la crise sanitaire. Le challenge auquel ils sont confrontés aujourd’hui est de réussir à redresser ou à maintenir leurs affaires.

Pour cela, la plupart des business ont dû avoir recours à ces solutions : 

  • Adapter leur offre ;
  • Se digitaliser ;
  • Développer leur stratégie marketing sur internet.

Le SEO est l’une des disciplines phares du marketing digital. Bien maîtrisée, elle peut vous aider à booster votre visibilité dans les pages de résultats des moteurs de recherches et à viser une nouvelle clientèle.

Pour adapter votre stratégie SEO, il vous faudra analyser et comprendre les nouvelles tendances du marché afin d’ajuster votre offre aux nouveaux besoins des consommateurs et ainsi tenter de vous positionner sur ces nouvelles tendances.

Dressez le bilan

Avant de changer quoi que ce soit, analysez votre situation : 

  • Votre secteur est-il touché par la crise ?
  • Votre entreprise a-t-elle été touchée par la crise ? 
  • Dans quelles proportions ? 
  • Vos concurrents ont-ils été touchés eux aussi ? 

Avec ces informations, vous aurez un plus clair aperçu des points faibles de votre site et des points à améliorer.

Ensuite, focalisez-vous sur l’évolution des requêtes des internautes. Demandez-vous si votre offre, telle qu’elle est actuellement, a toujours sa place sur le marché malgré la crise ou si des ajustements sont nécessaires. La clef pour une entreprise prospère en ces temps de crises est de trouver l’offre qui sera en adéquation avec les besoins des internautes. La preuve avec l’évolution de l’intérêt pour la requête « uber eats » en 2020.

On observe que le nombre de recherches pour le service de livraison de repas ne fait qu’évoluer depuis mi-mars, début du premier confinement. Expliquer cette augmentation n’est pas très difficile, c’est la conséquence des nombreuses difficultés voire de l’impossibilité des restaurants à accueillir des clients sur place. Ces derniers ont dû se rabattre sur la vente à emporter et en livraison, d’où l’ascension fulgurante de ce mot-clé. À vous de trouver comment adapter votre offre à la demande actuelle.

Passons à vos concurrents. Vous auriez beaucoup à apprendre d’eux, comment gèrent-ils la crise et quelles sont leurs solutions pour la traverser ? Cela vous donnera une idée plus précise des moyens susceptibles de fonctionner ou non.

Refaire une analyse SEO de son site

Pour répondre aux premières questions, faites auditer votre site (ou ré-auditer si besoin est) auprès d’une agence SEO. Cela vous permettra de mettre le doigt sur les défauts de votre site, sur les améliorations techniques et sémantiques que vous pourriez opérer et également sur les pages que vous auriez intérêt à créer pour votre netlinking.

Consultez vos statistiques sur Google Analytics ou Search Console, cela vous permettra d’observer les performances de votre site. Contrôlez aussi la vitesse de chargement de votre site via PageSpeed Insights. Vous serez plus à même de comprendre l’augmentation de votre taux de rebond ou la baisse de votre taux de conversion et l’impact que tout cela peut avoir sur votre chiffre d’affaires.

Ne pas hésiter à se remettre en question est une qualité qui vous aidera à faire grandir votre entreprise.

Créer de nouveaux contenus

En plus d’adapter et d’améliorer votre contenu existant, vous devrez en créer de nouveaux. Cela peut signifier créer de nouvelles pages ou bien ajouter du contenu pertinent à des pages existantes par exemple. Cela vous permettra d’enrichir votre site et d’actualiser votre offre.

Vous et vos clients êtes parfaitement au courant de la situation, nous vous conseillons d’être le plus transparent possible avec vos consommateurs afin de renforcer la relation de confiance que vous entretenez avec eux. 

Lors de la réalisation de votre stratégie de mots-clés, prenez bien en compte les nouvelles requêtes liées à la crise. Vous pouvez par exemple créer de nouvelles pages dédiées à l’application des gestes barrières au sein de votre entreprise et aux différentes mesures qui ont été prises. Montrez à vos clients que vous prenez vos responsabilités face à la crise et que vous agissez pour leur sécurité et pour celle de vos employés.

Créez des annonces visibles sur votre site web afin d’indiquer à vos consommateurs si vous êtes toujours ouverts ou à quelle date vous comptez rouvrir. Communiquez également sur les services que vous proposez pendant le confinement.

En somme, tenez-les au courant de votre actualité.

Penser au référencement local

Ne délaissez pas votre référencement local et actualisez votre fiche Google My Business. Cela permettra à vos clients de proximité de savoir si vous êtes ouverts et où ils peuvent vous joindre. Cette simple opération vous permettra de faire d’une pierre deux coups en vous adressant à vos clients physiques comme aux internautes.

Dans votre fiche Google My Business, renseignez les informations suivantes : 

  • Les dates et horaires d’ouverture
  • L’adresse de votre magasin 
  • Le numéro de téléphone
  • Un lien vers votre site web.

C’est une méthode très efficace pour booster les ventes de votre boutique et générer du trafic sur votre site web. C’est un intermédiaire précieux entre vous et vos clients, que vous pouvez utiliser pour les informer de n’importe quel changement de vos horaires, votre emplacement, ou de votre offre.

Les nouvelles tendances SEO pour 2021

Ces nouvelles mesures à adopter semblent aller de soi. Il faudra cependant y prêter une attention toute particulière en 2021, car elles vont avoir de plus en plus d’importance aux yeux de Google pour le référencement.

Désormais, il sera très recommandé voire obligatoire : 

  • D’adapter votre site web aux mobiles. Les utilisateurs mobiles sont de plus en plus nombreux, bien plus que les utilisateurs PC. C’est pourquoi Google attend de la plupart des sites qu’ils proposent une version adaptée aux smartphones, aux tablettes et autres appareils mobiles.
  • D’optimiser le contenu de vos pages. Google continuera de mettre en avant les sites proposant un contenu pertinent et de qualité aux internautes. 
  • D’optimiser la navigation. Ce qui signifie, organiser vos pages et mettre en avant le contenu le plus pertinent. Ainsi, vos visiteurs n’auront aucun problème à trouver les informations qu’ils sont venus chercher.
  • D’améliorer le temps de chargement de vos pages. En garantissant un temps de charge minimum pour vos pages, vous réduisez l’attente du visiteur et donc votre taux de rebond.
  • De prendre en compte les nouvelles tendances dans les recherches Google. De plus en plus de recherches se font à l’aide de la fonction de recherche vocale, ce qui impacte considérablement la formulation des requêtes. C’est un facteur à prendre en compte pour les sites qui désirent se positionner sur des mots-clés plus précis et moins concurrentiels.

Cette année, Google mettra l’expérience utilisateur au premier plan. C’est-à-dire que les facteurs de ranking prioritaires se baseront tous de près ou de loin sur l’UX. Autrement dit, afin de ne pas subir de pénalités et satisfaire le user agent Google bit, il faudra avant tout satisfaire les internautes.

Comment rédiger une bonne newsletter ?

En tant qu’entrepreneur, votre but est non seulement d’avoir une clientèle conséquente, mais surtout de la fidéliser. Pour cela, différents moyens de communication sont à votre disposition, chacun avec ses spécificités. Aujourd’hui, il va sans dire que les réseaux sociaux sont très largement utilisés pour promouvoir sa marque. Ces derniers permettent de partager des informations de manière instantanée, et ce, au plus grand nombre. Dans cette frénésie “2.0”, nous laissons peut-être un peu trop de côté un moyen de communication qui fait pourtant ses preuves depuis des décennies : il s’agit de l’e-mail. Oui, cette lettre électronique qui parvient directement dans la boîte aux lettres de vos clients ! À l’inverse des réseaux sociaux qui diffusent l’information en masse, l’e-mail vous permet de créer une relation de proximité avec vos clients, un lien plus personnel. Différents types d’e-mails existent, mais aujourd’hui nous allons nous attarder sur la newsletter. Cette lettre, qui s’adresse directement et personnellement à vos clients, vous permet d’instaurer un climat de confiance et de solidifier l’attachement qu’ils ont envers vous. Cette dernière a fait ses preuves, alors n’attendez plus et découvrez tout de suite les règles à appliquer pour rédiger une bonne newsletter !

Rédiger une bonne newsletter : soigner le contenu

  • Avoir un titre percutant
  • Nous sommes bien d’accord sur le fait que vous ne voulez en aucun cas que votre newsletter finisse dans la corbeille de vos abonnés avant même qu’ils ne l’aient lue. Dans ce cas, vous vous devez de créer un titre percutant. En effet, vos abonnés reçoivent des dizaines d’e-mails par jour. Le vôtre doit faire la différence et sortir de la masse. Pour cela, utilisez des verbes d’action s’adressant au lecteur ou bien une information “choc”.

  • Élaborer une accroche qui captive
  • C’est bon ! Votre abonné à ouvert votre newsletter ! Maintenant, il s’agit de conserver son attention afin qu’il saisisse bien le message que vous souhaitez lui transmettre. Pour cela, une accroche captivante est essentielle. Mettez votre lecteur directement dans l’ambiance. Commencez votre texte avec des chiffres percutants, mettez-vous dans sa peau. Votre abonné doit être intrigué par ces premières lignes et résolument vouloir en savoir plus.

  • Positionner l’idée la plus importante au début
  • Il se peut que vous ayez plusieurs informations à transmettre à vos abonnés au sein d’une même newsletter. Si tel est votre souhait, pensez à mettre le contenu que vous voulez communiquer en priorité, au début de votre texte. Dans bien des cas, vos abonnés ne liront que le début de votre e-mail.

  • Bien structurer le texte
  • Personne n’aime lire un texte compact : cela fatigue les yeux et demande bien trop de concentration. Pensez à aérer votre texte. Divisez-le en paragraphes, à l’aide de titres, sous-titres, tirets, puces…. Faites ressortir les idées importantes en gras.

  • Rédiger un texte court et qui va droit au but
  • Dans votre newsletter, soyez concis et direct. Énumérez vos informations sans fioritures et arrivez rapidement à la conclusion que vous souhaitez donner à votre message. Vous n’avez que quelques secondes pour convaincre votre lecteur, ce dernier scannant rapidement votre e-mail.

  • Utiliser une belle mise en page
  • L’être humain est sensible à la beauté des choses. Il est quand même plus agréable de recevoir une newsletter colorée, avec éventuellement des images, qui nous donne du peps ! Appliquez donc vous sur la mise en page de votre newsletter. C’est une occasion de véhiculer l’image de votre entreprise et de marquer les esprits. Si vous n’êtes pas un expert en design, des outils tels que Mailchimp ou Mailjet sont à votre disposition. Ces derniers vous proposent des templates que vous n’avez plus qu’à personnaliser.

  • Partager le bon type de contenu
  • Il est primordial que vous compreniez bien ce qu’est une newsletter. Cette dernière est là pour partager à vos abonnés l’actualité de votre entreprise : sortie d’un nouveau livre, organisation d’un séminaire, information sur un sujet bien précis… En bref, même si la newsletter a pour objectif final de déclencher une action chez votre abonné (qu’il achète vos produits ou services), cela doit se faire de manière très subtile. La newsletter est avant tout là pour renforcer le lien entre vous et vos prospects. D’autres types d’e-mail, plus “rentre-dedans”, sont créés pour pousser l’abonné à la vente de manière très directe. Ce n’est donc pas ce que vous devez faire avec votre newsletter.

  • Penser “responsive”
  • Aujourd’hui, plus de 50 % des internautes consultent leur boîte e-mail depuis leur smartphone. C’est pourquoi il est impératif que votre newsletter soit “responsive”. À savoir, qu’elle s’adapte bien au format mobile ou tablette. Votre texte doit ressortir correctement et vos images bien s’afficher. Votre e-mail doit s’ouvrir rapidement et être parfaitement aéré et lisible.


Rédiger une bonne newsletter : s’adresser vraiment au lecteur

  • Utiliser le prénom du lecteur
  • Comment réagissez-vous lorsque qu’une personne s’adresse à vous, en mentionnant votre prénom ? Vous vous sentez certainement flatté et avez le sentiment d’être réellement pris en compte. Eh bien sur le net, ça fonctionne comme dans la vraie vie. Vous adresser à votre abonné, en le tutoyant et en mentionnant son prénom rendra votre newsletter bien plus personnelle.

  • Apporter de la valeur ajoutée
  • Le tout n’est pas d’envoyer une newsletter pour envoyer une newsletter. Il s’agit de transmettre du contenu pertinent, qui va réellement apporter quelque chose à votre lecteur. Faites-lui part de la sortie de votre dernier article de blog, offrez-lui un conseil pour qu’il se sente mieux, qu’il soit plus productif… Bref, offrez-lui quelque chose qui a de la valeur à ses yeux.

  • Bien cibler les destinataires
  • Savoir à qui envoyer votre newsletter est également primordial. Tout d’abord, sachez qu’une newsletter ne s’envoie qu’aux personnes qui ont décidé d’elles-mêmes de s’y abonner. Il ne s’agit donc en aucun cas d’écrire à des personnes que vous ne connaissez ni d’Eve, ni d’Adam et pour lesquelles vous avez déniché leur adresse e-mail quelque part. Le but n’est pas de faire du “forcing”, mais bel et bien d’échanger intelligemment avec votre communauté.


Rédiger une bonne newsletter : engager le lecteur

  • Inclure un CTA
  • Un CTA ou Call to action est le fait d’encourager le lecteur à passer à l’action. Cela peut-être par exemple télécharger votre dernier e-book, acheter votre livre ou encore visionner votre tout nouveau séminaire. En bref, il s’agit ici de rendre le lecteur actif et non plus passif. Il s’agit de l’intégrer dans la dynamique de votre entreprise.

  • Ajouter un degré d’urgence
  • Si vous souhaitez que votre abonné passe à l’action en achetant l’un de vos produits ou services, augmentez vos chances en intégrant dans votre e-mail une notion d’urgence. L’exemple typique étant : “Ne manque pas cette superbe réduction de 50 %, elle se terminera demain à 23 h 59”. Ici, il ne s’agit pas de mettre le couteau sous la gorge du lecteur, mais bel et bien de le “pousser” un peu. De lui faire réaliser que c’est maintenant ou jamais le moment de passer à l’action et qu’il ne doit surtout pas manquer sa chance.

  • Insérer un P.S.
  • Le P.S. ou Post-scriptum, permet de mettre en exergue un point important. Vous pouvez utiliser cette technique si vous souhaitez que vos lecteurs retiennent bien une information. En règle générale, bien qu’il soit positionné à la fin de l’e-mail, le P.S. est l’élément lu en premier, avant même le corps du texte ! N’hésitez donc pas à vous servir de cette technique qui permet de marquer les esprits !


Rédiger une bonne newsletter : savoir quand l’envoyer

  • Trouver la bonne fréquence
  • Pour que votre newsletter reste pertinente aux yeux de vos lecteurs, vous devez trouver la fréquence idéale d’envoi. Si vous espacez trop les envois, vos abonnés vous oublieront petit à petit et le lien de proximité s’affaiblira avec le temps. Si au contraire, vous écrivez trop régulièrement, vos lecteurs se sentiront submergés par tous vos messages. Il est dit que 1 à 2 envois par mois reste une bonne mesure.

  • Déceler le bon moment
  • Envoyer une newsletter, c’est bien. L’envoyer au bon moment, c’est encore mieux ! Eh oui, le moment auquel vous écrivez à vos lecteurs à une influence. Ces derniers seront plus enclins à intégrer votre message lorsqu’ils seront disposés pour cela. Il semblerait qu’il existe des moments plus propices que d’autres. À vous de voir en fonction de votre secteur d’activité notamment. Si vous vendez des spiritueux, envoyer votre newsletter en soirée, notamment le week-end, sera bien plus intelligent que de l’envoyer en matinée. Si vous parlez “productivité”, écrivez à vos abonnés le matin en semaine, plutôt que le dimanche.


Rédiger une bonne newsletter : rester à l’affût

  • Rester en veille sur le marketing digital
  • Si vous souhaitez que votre newsletter continue d’être appréciée par vos lecteurs au fil du temps, vous devez rester en veille sur le marketing digital. Comme tous les secteurs du numérique, il s’agit d’un domaine qui est en perpétuelle évolution. Les moyens de communication changent sans cesse. Vous devez donc rester sur le “qui-vive” pour proposer du contenu dans “l’air du temps”.

  • Écouter son audience
  • Vous êtes à court d’idées concernant le sujet à aborder dans votre newsletter ? Pas de souci, demandez tout simplement à vos abonnés ce qu’ils aimeraient recevoir de votre part. Non seulement, vous trouverez une foule de nouveaux sujets à traiter, mais en plus, votre contenu sera plus que jamais adapté aux attentes de vos lecteurs. Cerise sur le gâteau : votre audience se sentira réellement entendue et prise en compte.

  • Être réactif auprès de ses abonnés
  • En communiquant avec vos abonnés via votre newsletter, il se peut que ces derniers aient des choses à vous dire. Que vous leur ayez demandé expressément, ou bien que ces derniers vous écrivent spontanément, vous devez être en mesure de leur répondre le plus rapidement possible. Votre audience doit sentir que vous êtes réactif et que vous êtes disponible pour elle.

  • Analyser ses résultats
  • Si vous souhaitez vous assurer de l’efficacité de votre newsletter, rien de tel que l’utilisation d’outils spécifiques tels que Mailchimp, Mailjet ou encore Sendinblue afin de réaliser des statistiques. Taux d’ouverture de vos e-mails, taux d’abonnements… vous allez tout savoir. Une fois ces chiffres en tête, vous pourrez retoucher votre newsletter en conséquence afin de la perfectionner et de la rendre plus efficace.


Nous avons donc vu que la newsletter est un outil puissant pour communiquer avec votre communauté. Elle vous permet de partager du contenu de qualité, tout en créant un lien privilégié avec vos abonnés. Ne négligez donc plus ce formidable moyen de communication et appliquez-vous dans la création d’une newsletter percutante, rafraîchissante, qui fait sens aux yeux de vos abonnés et qui vous permet de renforcer votre image de marque !


Article invité proposé par Marine Teste, Rédactrice Web SEO.
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Guide de la vidéo sur LinkedIn

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En 2018, Cisco a prédit que 82% du trafic sera vidéo d’ici 2022. Chaque mois, plus de contenu vidéo est créé que les grandes chaînes de télévision américaines en ont créé en 30 ans. Près de 90% des internautes regardent des vidéos en ligne et 70% le font sur mobile. Elle est clé en B2B comme en B2C. Selon Forbes, les 3/4 des cadres regardent des vidéos liées au monde de l’entreprise chaque semaine et 59% préfèrent regarder une vidéo sur un sujet plutôt que de le lire…

L’enjeu ? Face à l’explosion du nombre de vidéos, la guerre pour capter le temps et l’attention des personnes est une bataille féroce. D’autant plus difficile en B2B où l’on doit souvent faire passer beaucoup de messages, avec un coût de prod d’une vidéo perçu comme cher et avec la crainte que les prospects et clients ne la regardent pas (ou pire ne la voit pas car émerger avec du contenu B2B n’est pas simple.)

Et n’oubliez pas, les meilleures vidéos de marque – celles de Gillette, Airbnb ou Nike, par exemple – ne parlent pas des produits ou services qu’elles vendent. Elles parlent de l’état émotionnel dans lequel vous serez plongé, de ce que vous allez ressentir au plus profond de vous en les utilisant…


Pourquoi faire des vidéos sur LinkedIn ?

De l’aveu même des équipes LinkedIn, les vidéos sont cinq fois plus susceptibles d’obtenir des commentaires que les autres contenus. Dans l’ensemble, les vidéos LinkedIn obtiennent trois fois plus d’engagement que les publications avec un texte seul…

Donc, même si l’algorithme LinkedIn ne la favorise pas sciemment, l’engagement obtenu sur la vidéo va générer une portée supérieure pour ce type de contenu VS un autre…

Au-delà du simple aspect engagement et visibilité, la vidéo est également un format plus riche et plus créatif qui permet d’exprimer davantage de choses avec plus de puissance. Par exemple, si vous devez évangéliser un service ou présenter un produit nouveau, la vidéo est un format capable de convaincre davantage qu’un simple copywriting aussi bon soit-il.

Bien mesurer vos résultats 

Savez-vous ce qu’est une « vue » sur LinkedIn dans le cadre d’un format vidéo ? Une vue sur la plateforme correspond à au moins une seconde de lecture pendant que la vidéo est à au moins 50 % sur l’écran du bureau, ou 300 millisecondes sur le mobile.

Optimiser votre vidéo

La durée : 

Selon LinkedIn, les vidéos qui performent le plus durent moins de 15 secondes. Mais les longueurs peuvent varier en fonction de votre objectif. 

Voici quelques éléments à considérer :

  • Pour les vidéos de notoriété et de considération de marque, LinkedIn recommande de limiter la durée à moins de 30 secondes.
  • Les vidéos qui répondent aux objectifs marketing de l’entonnoir supérieur doivent respecter une durée de 30 à 90 secondes.
  • Optez pour une vidéo plus longue pour raconter une histoire de marque ou de produit. Une étude de LinkedIn a révélé qu’une vidéo longue peut générer autant de clics qu’une vidéo courte si elle raconte une histoire plus complexe.
  • Ne dépassez pas 10 minutes. LinkedIn considère que le taux de décrochage d’une audience est à 10 minutes maximum, qu’importe la vidéo.

Donc, si vous devez faire une vidéo, essayez de la faire durer 15 à 20 secondes maximum (C’est d’ailleurs le temps que recommande les équipes Facebook, Google, Twitter également…) Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas faire plus mais il faut que le sujet, la créa, le propos soit suffisamment fort pour tenir les spectateurs en haleine… Pas simple.


Une vidéo ou un live ? 

Un live génère en moyenne 25x plus de commentaires qu’une vidéo classique et 7 fois plus de réactions selon les équipes LinkedIn. Si vous souhaitez faire une interview ou parler longuement d’un sujet, cela peut être une bonne alternative… 

La plage idéale de durée est de 15 minutes à une heure. Bien qu’il soit généralement conseillé de conserver le contenu vidéo sur le côté court, nous vous recommandons en fait de regarder 15 minutes comme étage pour une diffusion en direct. C’est un événement! Donnez-lui le temps de construire. 

La modération est la clé. Nous ne parlons pas d’alcool ou de desserts; nous parlons de l’engagement du public. Parce que la vidéo en direct a tendance à susciter plus de commentaires et de commentaires, vous voudrez avoir au moins un représentant de marque dédié à répondre et à répondre.

Les hashtags aident à la découverte. L’inclusion de #LinkedInLive et d’autres hashtags pertinents aidera votre diffusion à être découverte par des personnes extérieures au suivi de votre page.


Les points clés selon les équipes créatives de LinkedIn pour réussir sa vidéo

Des recherches récentes ont révélé que notre durée d’attention a considérablement diminué en seulement 15 ans, passant de 12 secondes à 8,25 secondes. 

Les 5 premières secondes de votre vidéo sont donc clé. A l’inverse des spots TV où la chute arrive à la fin, on recommande plutôt de monter à l’envers pour les réseaux sociaux son spot ou du moins, de commencer par un “hook créatif”, un élément qui interpelle le spectateur : “zoom/dézoom”, “arrivée soudaine d’un élément ou d’un personnage”, “typo en motion design qui capte l’attention”…

Chartée votre vidéo dès le début est essentiel. C’est à dire que l’on doit identifier que c’est votre marque ou votre entreprise qui prend la parole. Car si notre cerveau a une faible durée d’attention, il nous faut moins d’une demi-seconde pour retenir une information.

Pour cela, 3 éléments sont primordiaux : 

  • Le style graphique 
  • Le ton 
  • La musique 

Le “body langage”, dans ses recherches, le psychologue Albert Mehrabian a découvert que 55% de la communication est transmise par le langage corporel. 7% seulement provient des mots employés et 38% concerne le ton. Donc si vous devez parler face caméra, pensez à sourire et à mettre de l’énergie dans la voix !


Ce qu’il ne faut surtout pas oublier

Publier votre vidéo en native dans la plateforme, pas via un outil et surtout pas en partageant un lien Youtube car vous allez réduire la portée de votre vidéo. Les vidéos native (téléchargée directement dans la plateforme) ont une portée jusqu’à 86% plus élevée selon une étude récente de Social Media Hub. Les statistiques montrent que les vidéos natives recueillent jusqu’à 10x plus de partages que les autres vidéos…

Un point important : une vidéo publiée en native se lance automatiquement, ce qui n’est pas le cas quand elle est partagée depuis un lien (exemple : une vidéo hébergée sur Youtube). 

  • Sous-titrer votre vidéo ! 80% des vidéos sont lues sans le son sur LinkedIn donc si vous voulez garder l’attention des internautes, pensez à y ajouter des sous-titres. 
  • Penser “mobile first”, l’environnement dans lequel on découvre une vidéo est presque plus important que la vidéo elle-même. Sur LinkedIn, 57% des gens se connectent depuis un mobile, c’est moins que les autres réseaux sociaux mais c’est beaucoup tout de même ! Au moment de construire votre vidéo, pensez-y…
  • Ajouter un lien, surtout si le but de la vidéo est de générer des visites sur votre site Web ou votre page produit. Selon des data LinkedIn, les publications avec des liens ont tendance à avoir un engagement 45% plus élevé que ceux sans.
  • Ajouter des hashtags (3 maximum) au texte qui accompagne votre vidéo si vous voulez maximiser sa portée
  • Eviter les textes trop longs accompagnant votre vidéo, LinkedIn recommande d’éviter d’avoir plus de 150 caractères dans le texte du post. 

PS : LinkedIn note que les messages promotionnels ou les e-mails qui incluent le mot vidéo peuvent considérablement augmenter le taux de clics. Si vous avez fait l’effort de créer une vidéo, assurez-vous d’en faire la promotion partout…


Article invité proposé par Cyprien Claudez.
LinkedIn Twitter Maginate



Recommandation :
📚 LinkedIn – Valorisez votre profil pour dynamiser votre image, votre communication et votre réseau
de Marina Rogard.

Copywriting : rédiger pour convertir !

Photo de Leah Kelley provenant de Pexels

Dès lors qu’on fait du marketing digital, connaître les bases du copywriting est essentiel. Posts sur les réseaux sociaux, landing pages et emailings sont autant d’occasions d’affuter sa plume.

Aujourd’hui Boris, Co-fondateur de l’agence Level Up Digital nous propose un article présentant les ingrédients pour un cocktail réussi.

Deux bases au choix : PAS ou AIDA

PAS et AIDA sont deux des frameworks les plus utilisés pour la rédaction sur le web. Pour ceux qui ne connaissent pas ce terme, un framework, c’est tout simplement un modèle. Aujourd’hui ces deux modèles sont utilisés par une bonne partie des opérations marketing sur le web.


1. Comprendre le modèle PAS

Quelques détails sur la partie “Agiter”

Cette étape du framework est essentielle et parfois trop peu élaborée.Vous devez permettre à votre lecteur de visualiser et de vivre cette problématique à laquelle il va s’identifier. 

Pour cela, mentionnez les aspects négatifs impactant sa vie, donnez des détails liés à des sensations telles que des couleurs, des sentiments, des odeurs, etc.

Correctement réalisée, cette étape doit vous permettre de démontrer à votre cible que :

  1. Vous comprenez mieux que quiconque leur problème;
  2. Vous êtes empathique et vous partagez un même problème. Vous établissez donc une relation de confiance;
  3. Vous remettez dans la tête de votre prospect l’importance de ce problème. Il se souvient de la réalité de ce dernier.

Et surtout, si vous maîtrisez autant la problématique c’est que vous devez avoir une solution non ?

Vous l’aurez compris, PAS vous permet d’accrocher votre audience en évoquant une problématique de sa vie puis en lui présentant votre solution comme la meilleure option pour la résoudre.

PAS en action

Prenons l’exemple bien connu du vendeur de matelas :

Problème : C’est quand la dernière fois que vous avez une eu une vraie bonne nuit de sommeil ?

Agiter : Une mauvaise nuit de sommeil nous rend tous irritables. Difficile de se concentrer quand on a le sentiment que son cerveau est engourdi. Aucune quantité de café ne peut d’ailleurs nous débarrasser du brouillard qui nous enveloppe.

Solution : Si c’est le cas régulièrement pour vous alors il était temps de découvrir notre matelas. On n’en fabrique qu’un. Mais il est parfait.

Evolution vers le modèle PASO

Ce modèle à été amélioré en ajoutant une étape dans l’expérience du lecteur : le résultat. (O signifie en anglais Outcome.)

Cette nouvelle étape est intéressante car un achat est généralement déclenché par une volonté de voir un aspect de sa vie changer. Le fait d’ajouter le résultat permet de boucler la boucle. Votre lecteur peut se projeter sur cette transformation.

Ne reste qu’à ajouter une preuve sociale et le tour est joué. Vous aurez un texte accrocheur et très convaincant.

Dans notre exemple précédent, l’outcome à présenter pourrait être présenté sous cette forme :

Outcome: Recevez notre matelas, livré chez vous sous 48h. Vous pouvez re-découvrir dès cette semaine ce que dormir comme un bébé signifie vraiment.


2. Comprendre le modèle AIDA

Aida est l’un des plus vieux modèle marketing et sans doute le plus utilisé à travers le monde. C’est un modèle qu’on doit à Elias St Elmo Lewis qui l’a inventé en 1898. On le retrouve aussi bien dans le journal que pour structurer des publicités à la télévision.

Sur la distinction entre Intérêt et Désir

Il arrive souvent que les phases “Intérêt”et “Désir” soient confondues car elles sont traitées quasiment en même temps.Néanmoins elles ne sont pas identiques. La phase “intérêt” est une phase à caractère informatif. Elle doit démontrer que vous posséder une solution, un service ou un produit qui est bien en rapport avec votre accroche et la problématique de votre lecteur.

La partie “Désir” quant à elle vient jouer sur les émotions. C’est le moment de basculer votre lecteur vers la fin du funnel, de le faire glisser vers cette action que vous cherchez à lui faire réaliser. Dans la phase de “désir” vous allez mettre en avant le résultat actionnable attendu grâce à vous, c’est à dire ce que va en retirer le lecteur.

AIDA en action

Pour changer un peu je vous ai sélectionné un post linkedin de Ludovic Huraux, startuper français connu qui oeuvre activement au lancement de Shapr Founder avec un poste qui a obtenu un bel engagement et construit sur ce modèle :


3. Framework + Storytelling = Le Cocktail explosif

Suivre un framework vous permettra de structurer un texte efficacement. Mais si vous êtes en plus en mesure de raconter une histoire vous aurez alors la combinaison gagnante !

Comme sur un toboggan, vous allez faire glisser en douceur votre lecteur du début à la fin de votre texte en le tenant en haleine.

Voici trois méthodes éprouvées que vous pouvez utiliser pour un storytelling efficace :

I. Transformation

Tout le monde aime les success stories. Ce sont des histoires faites pour que le lecteur se sente bien et soit convaincu que le succès lui est accessible également. En mettant en avant la transformation vous explicitez et valorisez le résultat attendu par votre cible.

Ici il s’agit donc d’illustrer comment on passe d’une situation problématique complexe à laquelle votre cible s’identifie à une situation rêvée. Ou en tout cas une étape clé qui peut conduire à cette  situation.

Comme vous le voyez ici, ça fonctionne très bien en accroche !

II. L’histoire inachevée

Notre cerveau ne supporte pas l’inachevé. Vous pouvez donc utiliser ce biais cognitif en racontant une histoire mais sans la terminer. Cela vous permettra de déclencher une action comme un téléchargement ou encore un suivi de votre compte sur les réseaux.

C’est une méthodologie particulièrement utilisée sur Linkedin. “Si vous êtes intéressé pour en savoir plus, connaître la suite, etc. laissez moi un commentaire !”

III. Polarisation

Une méthode vieille comme Hérode ! Certains média en ligne en ont d’ailleurs fait un fond de commerce. Il s’agit de proposer des sujets clivants qui vont amener les lecteurs à réagir. A partir du moment où vous ne laissez pas votre lecteur indifférent, c’est que vous l’avez engagé !

C’est une méthode efficace, en particulier sur les réseaux sociaux où les algorithmes considèrent les commentaires dans leurs évaluations de notoriété mais également pour les articles de sites ou blogs qui voient leurs performances améliorées sur les moteurs de recherche.

Votre objectif est simple ici : proposer un sujet clivant qui amène un débat. Voici un bon exemple avec Grégoire de Germinal.


4. Derniers ingrédients à saupoudrer

Nous avons évoqué les bases d’un texte engageant. Voici désormais quelques éléments à introduire en supplément dans vos écrits pour obtenir un texte accrocheur et convaincant.

La rareté / L’urgence

Ce levier psychologique est bien connu des professionnels du marketing. Il repose sur le fait qu’une offre limitée va augmenter son attractivité. 

D’ailleurs les spécialistes internationaux du sujet sont les rédacteurs de Booking.com :

On peut trouver cela excessif mais la preuve est là. Ces arguments jouent sur la rareté et impliquent donc une demande importante mais ils créent également un certain sentiment d’urgence. Ce levier joue donc à la fois sur l’intérêt et sur le passage à l’acte.

Lorsque vous le pouvez ne vous privez donc pas d’utiliser ce levier pour améliorer l’efficacité de vos textes.

Un petit dernier exemple d’asphalte parce que bon… ils sont vraiment forts !

L’autorité

Présenter une problématique puis une solution est la bonne démarche pour obtenir du résultat. Cependant, qu’est ce qui prouve à votre lecteur que vous savez de quoi vous parlez ? 

Si vous n’êtes pas une personnalité ou un influenceur, il vous faudra faire vos preuves en posant les bases de manière explicite afin de démontrer vos connaissances.

Le post que nous montrions précédemment de Ludovic Huraux utilise une autre stratégie en se fondant sur les statistiques d’un journal de renom au sein de l’écosystème startup.

Dans un autre post qui a très bien fonctionné il mettait en avant son importante expérience qui lui a permit d’écrire un post sur Linkedin qui a très bien fonctionné :

Il y a donc deux manières principales de démontrer l’autorité :

  1. Démontrer que votre expérience personnelle fait de vous un expert sur le sujet.
  2. Mettre en avant des statistiques établies par une entité de renom dont le sérieux ne sera pas remis en question.

La preuve sociale

Nous avons tous tendance, parfois malgré nous, à fonder nos opinions et nos actions sur les autres. L’Homme a une tendance grégaire, à suivre le comportement du groupe auquel il s’identifie. Ainsi par défaut la preuve sociale captive et convainc à la fois.

Ainsi mettre en avant un nombre important de demandes / ventes ou encore l’avis d’un de vos clients ou d’un expert reconnu sera toujours un élément décisif pour rédiger un texte convaincant.

J’aurais pu vous placarder des centaines de landing qui utilisent des avis clients mais pour changer l’exemple ci-dessus est intéressant car il commence par une citation client. 

Le copywriting exploite d’ailleurs la preuve sociale pour rendre son propos plus impactant. Et ça fonctionne !

Autre exemple ici avec l’excellente landing de basecamp :

Le must have : Le Call to Action

Ne partez pas du principe que votre lecteur sait ce que vous attendez de lui. Utilisez plutôt le théorème qui démontre que moins il y a de réflexion, moins il y a de frein, plus vous avez de chance que votre lecteur effectue l’action que vous attendez de lui. 

Pour reprendre notre image du toboggan, il faut que le chemin suivi par votre lecteur fournisse la direction et la pente pour l’amener, en douceur et sans doute ni effort de sa part, jusqu’à la conclusion souhaitée.

Si vous souhaitez qu’un internaute réalise une action n’hésitez pas à lui dire et lui redire!

En conclusion

N’hésitez pas à suivre les influenceurs sur les réseaux afin de déconstruire leurs posts qui fonctionnent le mieux.

N’hésitez pas non plus à vous faire une checklist en partant du modèle que vous souhaitez suivre et en vérifiant que vous avez bien incorporé un minimum des éléments proposés dans cet article. Cela demande un peu de rigueur au départ mais vous verrez qu’à terme votre copywriting deviendra bien plus plus efficace.


Article invité proposé par Boris Rieunier.

Entrepreneur de longue date et co-fondateur de l’agence Level Up Digital. J’aime challenger les chefs d’entreprises et les aider à obtenir de la croissance grâce au digital. LinkedIn Site web

Quelques conseils pour créer des publicités Facebook efficaces

Article invité | Photo de Tobias Dziuba provenant de Pexels

Les publicités Facebook sont régulières dans votre activité ? Vous êtes en quête de conseils Facebook Pro ?

Vous êtes au bon endroit et nous allons vous faire découvrir un panel de conseils vous permettant d’améliorer les résultats de vos publicités Facebook.

Mon expérience précédente m’a permis de comprendre les bonnes pratiques dans le domaine de la publicité sur Facebook. Des bonnes pratiques que j’aimerais partager avec vous.

Le but est surtout d’attirer l’attention sur les éléments jugés importants.

Les tests, l’ultime conseil Facebook

Photo de Startup Stock Photos provenant de Pexels

Trop souvent les annonceurs dépensent des budgets importants sans tester en amont les hypothèses retenues.  

Quand vous lancez une publicité Facebook, vous vous basez sur un certain nombre d’a priori. Vous allez par exemple penser que vos produits seront destinés à des hommes de 25 à 35 ans. En partant de ce postulat, votre budget de campagne ciblera cette audience.

En soi l’idée n’est pas mauvaise, car vous avez l’impression de maximiser l’impact de votre campagne auprès de votre public cible, plus sensible à l’offre.

Néanmoins, avez-vous testé votre hypothèse avant de vous lancer ? C’est souvent ce que demandent les consultants Facebook Pro.

Peut-être que votre raisonnement de base est biaisé et que la tranche est plus étendue ou que ce sont les femmes qui seront les plus sensibles au produit.

L’idée est donc de pratiquer des tests :

  • Audience
  • Budget
  • Visuel

Et bien d’autres.

Sur le célèbre réseau social, vos hypothèses doivent être testées. Le premier et meilleur conseil est donc de créer ces fameuses campagnes de tests qui vous apporteront des réponses positives aux négatives.

Il faut essayer plusieurs versions d’une publicité pour voir celles qui apporteront les résultats les plus probants. 

Mais un court exemple vaut mieux que mille mots. Vous avez 10 dix graines à planter et dix seaux d’eau pour les faire pousser. Deux choix se dessinent :

  • Plantez dix graines et arrosez chacune avec un seau d’eau.
  • Plantez les dix graines et arrosez avec deux ou trois seaux d’eau. Une fois quelques jours passés, regardez celles qui poussent et utilisez l’eau restante pour vous concentrer sur celles-ci.

Le concept est similaire pour les publicités sur Facebook. 

Bien évidemment, cela nécessite du temps et des efforts pour porter ses fruits et cela peut sembler rébarbatif. Cependant, les résultats sur le long terme peuvent en valoir la chandelle puisque les campagnes que vous lancerez après ces tests tourneront à plein régime. 

Vous n’aurez gardé que les graines prometteuses, rappelez-vous.

L’audience, le sujet éternel des Consultants Facebook

Photo de Pixabay provenant de Pexels

Le temps n’est pas si lointain où nous faisions un ciblage au laser de nos audiences. Cela signifie que nous cherchions une audience avec précision de milliers de personnes (allant de quelques milliers à plusieurs centaines en fonction des cas).

Exemple : Les femmes entre 25 et 35 ans résidant en France aimant le magazine ELLE pouvaient être considérées comme une bonne audience. 

De nos jours, ce n’est plus du tout le cas. Les progrès engendrés par les algorithmes de Facebook et son système d’Intelligence Artificielle permettent de recommander l’appui sur ces outils par les annonceurs.

En parlant de ça, connaissez-vous le Power 5 ? Il S’agit d’une méthode en 5 axes servant à pousser au maximum vos performances sur Facebook.

  • Simplification des campagnes
  • CBO
  • Placements automatiques
  • Publicités dynamiques
  • Correspondance automatique avancée

Si cette méthode vous reste inconnue, je vous invite à vous y intéresser rapidement, car je ne détaillerais guère les points précédemment cités. Il s’agit d’un must pour les experts Facebook Pro et les recommandations du média social sont à prendre au sérieux.

On y retrouve notamment le CBO qui devait être rendu obligatoire avant de finalement voir un retour en arrière être effectué.  La mise en route de l’optimisation du budget de campagne oblige à la définition d’un budget sur l’ensemble de ladite campagne.

D’après Facebook, cela permet l’obtention de résultats supplémentaires tout en passant un temps moindre sur les campagnes.  L’activation de cette option, vous laissez Facebook gérer l’attribution du budget de manière dynamique sur vos ensembles de publicités.

Si le sujet du CBO est abordé, c’est notamment par l’influence sur les audiences que vous allez prendre comme cible. Cette notion d’audience reste par ailleurs un sujet privilégié des Consultants.

Voici donc quelques recommandations :

  • Cibler des audiences larges (plus d’un million de personnes).
  • Eviter d’avoir plusieurs ensembles de publicités avec des audiences différentes dans leurs tailles. 
  • Avoir en sa possession un nombre réduit d’ensembles de publicités (pas au-delà de cinq, même moins si votre budget est limité).
  • Ne pas toucher la campagne une fois que celle-ci a démarré, le risque étant de procéder à son dérèglement.

Il faut bien garder en tête le fonctionnement de Facebook, basé sur des algorithmes et l’Intelligence Artificielle. Si vous voulez tirer le meilleur de ce réseau, les audiences larges doivent être ciblées, le temps du ciblage laser n’est plus.

Si votre budget est réduit (base inférieure à 100 euros par jour), vous pouvez vous concentrer sur des audiences de 300 000 à 500 000 personnes.

A contrario, si votre budget est plus important (base supérieure à 100 euros par jour), n’hésitez pas à vous attaquer à des audiences plus larges (1 000 000 de personnes et au-delà).

Facebook se chargera alors de scanner l’audience et de trouver les personnes les plus susceptibles d’entreprendre l’action souhaitée.

Le message, un fondamental

Photo de Brady Knoll provenant de Pexels

L’audience est donc d’une importance capitale dans une publicité. Le principe même de la publicité s’accorde d’ailleurs à le rappeler « le bon message devant la bonne personne. »

La bonne personne nous avons évoqué le sujet précédemment, attelons-nous sur le sujet du bon message. 

Cela parait peut-être un peu bête de le rappeler, mais c’est le message (et son visuel) qui amèneront les utilisateurs à cliquer. Il faut donc le façonner avec attention.

Voici quelques points qui résume rapidement ce que vous devez savoir et notamment les neuf principes que les meilleures publicités Facebook se partagent, issus d’un post de Théo Lion.

  • L’intérêt personnel, si votre client ne comprend pas quasi instantanément à quel point sa vie sera améliorée par l’acquisition de votre produit, alors votre ad n’est pas de bonne qualité.
  • Sélection de l’audience, en comprenant tout de suite à qui s’adresse l’ad.
  • Compréhensible, une pub simple est plus pertinente qu’une pub complexe ou la compréhension demande un effort.
  • Novateur, en insistant sur le ce qu’il y a de nouveau dans votre produit.
  • Crédible, en apportant les preuves aux promesses que vous faites à vos clients.
  • Gratification immédiate, dans le sens où votre ad doit apporter la solution à un problème donné.
  • Spécifique, avec de la précision se basant sur des preuves. Évitez de trop généraliser.
  • Curiosité, en donnant envie d’avoir des détails supplémentaires après les trois premières secondes.
  • Urgence, en poussant par une raison explicite à passer à l’action sans délai.

Conclusion

Vous avez maintenant des pistes de réflexion sur la manière d’appréhender les publicités Facebook. 

Le concept « Test & Learn’‘ est capital, gardez en mémoire la métaphore des graines à faire pousser et des seaux d’eau.  Au-delà de ça, les progrès engendrés par Facebook poussent les annonceurs à faire de plus en plus confiance à ce média social. 

Servez-vous du CBO, ciblez des audiences larges (cela donne plus de champ à Facebook pour l’optimisation de la diffusion des publicités) et simplifiez vos campagnes.

Comment déterminer une anomalie dans vos campagnes marketings ?

Article invité | Image par www_slon_pics de Pixabay

Qu’est-ce qu’une anomalie ?

Assez simplement, c’est une valeur anormale dans un ensemble de données.

Comment trouver une anomalie ?

Il existe plusieurs moyens de détecter des anomalies. En voici une présentation, de la plus simple à la plus complexe :

Grâce à des règles simples : Comme la détection par seuil. Vous prenez une suite de chiffres (comme le nombre d’impressions) et vous décidez arbitrairement un seuil à partir duquel vous déclenchez une anomalie. Cette méthode a pour avantage d’être rapidement mise en place, mais n’est pas facilement applicable sur des données que l’on qualifie de saisonnières (variation selon l’heure de la journée, selon le jour de la semaine…).

Utiliser des règles de mathématiques simples : Se baser sur des règles mathématiques simples comme la moyenne et l’écart-type. La moyenne est un outil de calcul permettant de résumer une liste de valeurs numériques en un seul nombre réel. L’écart-type est une mesure de la dispersion des valeurs d’un échantillon statistique ou d’une distribution de probabilité.

Exploiter les lois de probabilités :

Utiliser des lois de probabilité sur des échantillons qu’on considéra comme statistiques. Une loi de probabilité décrit le comportement aléatoire d’un phénomène dépendant du hasard. Il existe beaucoup de lois de probabilité (Loi de poisson, Loi normale, Loi binomiale négative) et elles sont un bon entre-deux pour analyser des événements aléatoires sur des séries discrètes continues.  

Utiliser des algorithmes

Les algorithmes de machine learning ou de deep learning qui vont s’adapter en fonction de la saisonnalité et de votre donnée. Ils sont plus délicats à utiliser, car ils requièrent des connaissances poussées en algorithme et un très gros volume de données.

Image par Free-Photos de Pixabay

Exemple d’utilisation d’une loi de probabilité : 

Pour cet article d’introduction, nous couvrirons seulement la loi normale. En effet, elle permet une assez bonne approche pour la détection d’anomalies et est, dans beaucoup de cas, la base pour les algorithmes de deep learning de prédictions.

Loi normale

Définition de la loi normale : La loi normale intervient dans l’étude de phénomènes quantitatifs aléatoires continus soumis à de multiples causes (aucune d’entre elles n’étant prépondérante), agissant additivement et indépendamment l’une de l’autre et dont la répartition des valeurs s’étale autour de leur moyenne.

Utilisation : Cette loi va nous permettre de détecter une anomalie dans le nombre d’impressions faites par notre compte Google Ads. Nous allons étudier le nombre d’impressions heures par heures pour apporter un volume de données suffisant.

Pour ce faire, nous générons un rapport avec Google Ads sur les 30 derniers jours. Puis nous calculons la moyenne et l’écart-type pour l’ensemble de nos données nécessaires à l’application de notre loi de Poisson. Enfin, nous appliquons la loi normale pour obtenir la probabilité cumulée P de chacune de nos valeurs d’impressions. 

Lorsque nous avons P, nous définissons la règle de détection suivante : 

Si P > 0.995 ou inférieur à P < 0.005, alors nous décidons que c’est une anomalie. La définition des seuils de P est arbitraire, plus vous vous rapprochez de 0,1 ou de 0,9, plus vous allez qualifier l’événement de rare.

Ressource : Vous pouvez retrouver le Google Sheet que nous avons utilisé pour trouver les anomalies dans nos impressions ici.


Pour conclure :

Chaque méthode pour définir une anomalie est propre à chaque cas d’utilisation. Un seuil peut suffire sur des données simples. Mais il peut être nécessaire d’utiliser des lois de probabilité voire des algorithmes pour trouver les anomalies les plus complexes.

Il existe aussi des solutions no-code qui vous fourniront une interface graphique pour utiliser des algorithmes simple ou plus complexe tels que catchr.io. Vous pourrez alors choisir visuellement les métriques que vous souhaitez analyser et surtout avoir des retours en temps réel sur ce qui se passe sur vos comptes marketings. Vous évitez ainsi d’avoir à étudier les rapports fournis par les différents outils marketings.