Que l’on soit en télétravail ou que l’on souhaite transférer des fichiers depuis un bureau en masse ou d’un certain volume, les services de transfert restent des outils très pratiques dans ce genre de cas. Un upload, un lien à partager et hop c’est terminé !
Évidemment, il en existe d’innombrables, comme peu l’attester le listing ci-dessous. Bien souvent, ces services sont limités en volume d’envoi ou en taille de fichier dans leur version gratuite. Mais bon, pour un utilisateur occasionnel, cela reste suffisant. 😋
A l’heure où les utilisateurs veulent consommer toujours plus et rapidement, les médias et les services de divertissement se sont réinventés ces dernières années. De nos jours, il est de plus en plus rare d’acheter ou de louer des produits numériques à l’unité, le principe d’abonnement a conquis le cœur des consommateurs.
Pour moins de 10 euros par mois il est possible d’avoir accès à des millions de musiques en écoute illimités (Spotify, Deezer, Apple Music…) ou visionner des séries, des films comme on le souhaite pour moins de 14 euros par mois (Netflix, Amazon Prime, Disney+…).
Dans le domaine du jeu vidéo, ce principe se renforce de plus en plus. En souscrivant à un abonnement mensuel, il est possible d’accéder gratuitement à des tonnes de jeux, comme sur le Xbox Live ou le PlayStation+. D’autres plateformes émergentes comme Google Stadia, misant sur le cloud gaming, proposent un forfait payant principalement pour avoir accès à cette technologie, car les jeux s’achètent à l’unité. Pour avoir accès à un catalogue plutôt fourni et en cloud gaming, il faudra plutôt se tourner vers Luna d’Amazon mais, celui-ci n’est disponible qu’en early access aux États-Unis.
Dans l’ensemble, il y a un lissage au niveau des différents services, afin d’attirer plus d’utilisateurs, la tarification et la taille du catalogue ne sont pas les critères principaux. La bataille se joue sur les exclusivités.
Dans cet article, nous aborderons ce moyen de consommation adapté au monde du livre (numérique évidemment).
Un peu moins démocratisés que la vidéo ou la musique, les livres possèdent aussi leurs propres plateformes : Amazon Kindle, Scribd, Izneo, YouBoox, YouScribe… Tous ces services proposent une plus ou moins large gamme de livres, de bande dessinés ou de magazines. Il faut être un gros consommateur de livres pour souscrire à ces abonnements pour en profiter pleinement.
Mais, si vous n’avez pas trop de temps et que vous adorez les livres sur l’entrepreneuriat, le marketing ou encore le développement personnel, alors Kooberest fait pour vous !
Koober, c’est quoi ?
Koober est un service en ligne et une application qui propose plus de 1500 livres (non fictifs) de qualités et sélectionnés manuellement. La particularité c’est que Koober extrait l’essence de chaque livre pour en faire un format condensé à lire ou à écouter en moins de 20 minutes (ce sont des koobs) ! Pratique pour le trajet du matin ou de courtes sessions dans la journée.
Différentes thématiques sont à disposition : culture générale, développement personnel, développement professionnel, etc.
Le service se décompose en deux onglets :
“Explorer” pour rechercher le livre qui vous intéresse
“Formations” : Pour aller encore plus loin, les koobs sont sélectionnés et rassemblés dans des parcours thématiques. Ces parcours abordent un sujet (comme par exemple l’entrepreneuriat) et regroupent des koobs de différents formats : condensé de livre, podcast, interview pour approfondir un sujet qui vous plaît.
Sur chaque fiche d’un koob, on retrouve un résumé du livre, mais aussi la possibilité de l’exporter vers Kindle ou d’acheter la version complète. Les utilisateurs peuvent donner leur avis sur le koob dans l’espace des commentaires.
Koober en quelques chiffres
Koober est une startup française créant ses contenus avec des auteurs formés en interne et est disponible dans plus de 15 pays.
+100 000 téléchargements mensuels
+150 000 utilisateurs mensuels
+1 500 koobs disponibles
+100 parcours thématiques
Les tarifs
Avant de souscrire, vous pouvez tester le service pendant 7 jours sans engagement.
Forfait mensuel : 7,99€/mois
Forfait annuel : 6,67€/mois (inclus 2 mois offerts)
En plus des 2 mois offerts, on vous offre une promotion de 20% valable sur l’offre annuelle.
Pour cela, il suffit de vous inscrire sur leur site web, d’entrer le code : BLDWEB de choisir l’option annuelle.
Aussi intrigante qu’innovante, la branche Arts & Culture de Google a lancé une nouvelle expérience basée sur de l’intelligence artificielle.
Blob Opera a été créé par David Li (et Google), développeur et concepteur. Afin de réaliser cette expérience, il a enregistré les voix de 4 chanteurs d’opéra. Une fois les voix obtenues, grâce au machine learning lorsque l’on modifie la voix d’un blob, les trois autres blobs s’adaptent en temps réel afin d’obtenir un son harmonieux. Retrouvez toutes les informations dans la vidéo ci-dessus :
Pas besoin de compétences particulières, chacun peut créer sa propre musique dans son navigateur, sur mobile ou sur ordinateur. Pour résumer le fonctionnement :
Le blob mauve est la basse (voix masculine la plus grave)
Le blob bleu est le tenor (voix masculine la plus aiguë)
Le blob vert est le mezzo-soprano (voix féminine médium)
Le blob rouge est le soprano (voix féminine la plus aiguë)
Glissez la souris vers le haut ou vers le bas modifiera la hauteur d’une note.
Il n’est pas toujours évident de trouver une bonne musique pour un projet vidéo ou un podcast, d’autant plus que celle-ci doit être libre de droits afin d’éviter des problèmes de copyright… C’est pour ça que je vous propose dans cet article une compilation de sites web proposant des sons utilisables librement, histoire d’avoir un large choix. J’ai essayé de dénicher un maximum de librairies gratuites, évidemment ce n’est pas une liste exhaustive, donc si vous en connaissez d’autres, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires ! 🤗
Besoin d’illustrations pour égayer vos différents projets (landing page, emails, publications sociales…) ? Alors Storyset (by Freepik) est fait pour vous ! Non, ce n’est pas la fameuse fonctionnalité éphémère disponible sur (tous) les réseaux sociaux… quoique, ça vous permettra de raconter des histoires autrement ! 😉
L’outil est gratuit et tout se passe directement en ligne. Donc, pas besoin d’un logiciel en particulier pour éditer les visuels, mais rien ne vous empêche d’intégrer ces fichiers dans un PSD ou un AI/EPS. Pour les aficionados de Figma, il existe un plugin pour exploiter les illustrations dans le soft.
Comment ça fonctionne ?
Sur le principe, Storyset fonctionne comme une banque d’images classique comme Pexels ou bien Pixabay. Il y a une barre de recherche si vous souhaitez affiner la sélection à l’aide d’un mot-clé. Sur la page d’accueil, il est possible dès le départ de filtrer par style graphique, de sélectionner la couleur principale et de choisir d’afficher plus ou moins de détails en arrière-plan. Je tiens à préciser qu’il n’est pas possible de créer ou de dessiner quoi que ce soit avec cet outil.
Une fois le choix de votre illustration faite, « l’outil d’édition » s’affiche alors. Vous avez de nouveau la possibilité de modifier la couleur, mais surtout de choisir les éléments que vous souhaitez afficher ou non sur le visuel grâce aux calques présents à droite. Le nombre de calques dépend de la complexité du visuel.
Jusqu’ici rien de palpitant mais, Stories possède une fonctionnalité que j’apprécie particulièrement, c’est le fait de pouvoir animer les éléments du visuel ! Pour cela, il suffit de cliquer sur le bouton magique 🪄 Animate it !
Dans ce nouvel éditeur, si vous ne souhaitez pas trop vous prendre la tête, vous pouvez cliquer sur « Randomize » pour générer une animation aléatoire. Évidemment, afin d’obtenir quelque chose d’un peu lécher et fluide, il faut prendre le temps d’animer un par un chacun des calques à votre convenance.
Pour les visuels fixes : si ceux-ci ne possèdent pas d’animations, il suffit d’exporter en PNG. Il est également possible d’exporter un fichier SVG, à intégrer sur un site web ou à éditer via un logiciel de création vectorielle.
Pour les visuels animés : vous avez le choix d’exporter soit en GIF, soit en MP4 et de définir certaines caractéristiques de sortie.
Boucle une fois ou toujours
La couleur de fond
Les dimensions du visuel
Ps : l’exportation ne supporte pas les animations multiples, pour toutes les avoir, il faut les exporter séparément.
Pour ceux qui ont des compétences en HTML/CSS et en intégration d’animations SVG, Stories fournit automatiquement le code correspondant.
Même si c’est gratuit, n’oubliez pas de faire apparaitre un lien d’attribution là où le visuel est utilisé ! 😉 Illustration by Freepik Stories
Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Vivaldi n’est pas seulement un compositeur de musique classique italien, c’est aussi un navigateur internet gratuit ! 😅
Le crédo de Vivaldi est la sécurité et la protection des données. En effet, les données des utilisateurs sont chiffrées de bout en bout peu importe l’appareil. Le navigateur intègre également nativement un bloqueur de publicités et de traqueurs. Etant rapide et puissant, celui-ci regorge de fonctionnalités plutôt pratiques pour faciliter la vie des utilisateurs, il est sans nul doute l’un des meilleurs navigateurs sur le marché !
C’est dans un article de blog que le client mail a été annoncé. Attention, cette fonctionnalité n’a pas encore été rendue publique, il faudra donc effectuer une petite manipulation pour pouvoir la tester sur la dernière version snapshot du logiciel.
Vivaldi intégrera à terme 3 nouvelles fonctionnalités :
Un client mail (Vivaldi Mail)
Un lecteur de flux (Vivaldi Feed Reader)
Un calendrier (Vivaldi Calendar)
Aperçu de Vivaldi Feed Reader
Aperçu de Vivaldi Calendar
Comment activer Vivaldi Mail, Feed Reader et Calendar ?
Dans la barre de recherche en haut, tapez : vivaldi://experiments/
Appuyez sur la touche entrée, il ne vous reste plus qu’à cocher la case dédiée :
Pour configurer la messagerie, vous devez vous rendre dans les paramètres du navigateur, puis dans l’onglet « Courrier« . Évidemment, Vivaldi Mail reste un client de messagerie classique au même titre qu’un Mozilla Thunderbird.
Le 22 octobre, le gouvernement français a dévoilé la V2 de son application de traçage des cas positifs au covid-19 : Tous Anti Covid. Même si l’application a été vivement critiquée, la V2 semble avoir convaincu de nombreux français : le nombre de téléchargements est passé de 2,7 millions à 7,4 millions depuis le déploiement de cette nouvelle version. La France étant souvent comparée à ses voisins dans la gestion de cette crise sanitaire inédite, nous revenons sur les choix de développement de l’app française par rapport aux autres pays européens.
Tous les pays d’Europe ont voulu réagir le plus vite possible dans la gestion de la crise du covid et créer une app de tracing est apparu comme une solution efficace pour ralentir la pandémie. On retrouve des différences de conception dans le choix de l’architecture, la transparence du développement et encore les fonctionnalités accessibles pour les utilisateurs.
La France a choisi une architecture technique centralisée, différente de la majorité des autres applications européennes qui elles ont choisi une architecture décentralisée (basée sur le fonctionnement proposé par Apple et Google). Dans un système centralisé comme celui de la France, l’ensemble des données est collecté dans un serveur central. Dans un système décentralisé, les données sont réparties entre les différents smartphones des utilisateurs.
Concernant la transparence dans le développement, tous ont partagé le code source de leurs apps sauf la Slovaquie, la Norvège, la Hongrie et le Danemark. Pour l’application Tous Anti Covid, une partie du code n’est pas publiée publiquement pour des raisons de sécurité et d’infrastructure.
Concernant les fonctionnalités disponibles pour les utilisateurs, la France comme la République Tchèque et l’Irlande ont choisi de mettre en place un système de News intégrant des alertes et des informations officielles des gouvernements. D’autres pays (Autriche, Irlande, Pologne, Royaume-Uni) ont opté pour l’auto-diagnostic via un questionnaire pour aider les personnes à identifier leurs symptômes afin de désengorger les centres de dépistage. Enfin, certains (Slovaquie, République Tchèque, Lettonie, Irlande et Allemagne) ont choisi de mettre en place un suivi de chiffres en temps réel : nombre de dépistages, de tests positifs et négatifs pour comprendre et analyser l’évolution de la maladie.
Avec la nouvelle version de son app de Contact Tracing, on voit que la France rattrape ses voisins. Cet effort est salué par le nombre important de nouveaux téléchargements dus à cette mise à jour. On notera également que le lien vers la page internet permettant de télécharger l’attestation de sortie semble être un atout majeur de l’app.
En cette période si particulière, notre consommation de contenus en ligne a explosé. Étant confiné, il est évident que nous avons plus de temps pour cette occupation, le marché de la SVOD lui se porte à merveille et voit son nombre d’abonnés grimpé en flèche. D’ailleurs, Netflix connaît une augmentation de 20% de son nombre d’abonnés à travers le monde.
Mise à part, ces médias de divertissement, le monde du travail est tout aussi chamboulé. Les entreprises qui le peuvent se sont retrouvées à faire du télétravail quasiment du jour au lendemain. Ainsi, les outils collaboratifs (Slack, Microsoft Teams…) et les services de visioconférence (Zoom, Skype, Messenger Rooms qui a été annoncé tout récemment, etc…) se popularisent et sont adoptés par les entreprises. Pour vous faire une idée, le service Google Meet (anciennement Hangout) gagne 3 milliards d’utilisateurs chaque jour ! Évidemment toutes ces plateformes sont en concurrence en ce moment, c’est pour ça qu’elles déploient régulièrement de nouvelles fonctionnalités.
Le principe d’elocance est de transformer tous les contenus écrits peu importe la langue en podcast audio. Cela peut-être un article de blog, un mail ou encore un document de travail. Leur slogan résume très bien le concept “Lisez avec vos oreilles”. Il est à noter que l’écoute se fait uniquement depuis l’application mobile, ainsi vous pouvez emporter vos contenus partout avec vous.
Comment ça fonctionne ?
Evidemment, pour obtenir un podcast en quelques secondes à partir d’un texte, il faut faire intervenir la technologie, c’est l’intelligence artificielle et la synthèse vocale qui s’en chargent. Je vous renvoie au très bon article qu’elocance a rédigé sur le sujet : “Pourquoi un robot qui lit, ça peut vous changer la vie”.
Le point de départ pour commencer à utiliser ce service est de télécharger l’application et de se créer un compte.
La version web prend la forme d’une extension Chrome, celle-ci permet d’ajouter une page web ou un document (PDF ou word) depuis votre ordinateur à votre bibliothèque. Bibliothèque qui se trouve sur l’application mobile.
Il est également possible de transférer un mail à elocance (add@elocance.com) pour le retrouver ensuite dans l’application.
Les principales fonctionnalités de l’application
L’application est très accessible et possède un design très épuré. Dans le premier onglet, vous allez retrouver tous les contenus que vous aurez préalablement sélectionnés. Il sera également possible de créer des playlists pour mieux s’y retrouver.
Le bouton situé sur la droite permet de découvrir du contenu de qualité sélectionné par des personnes de l’équipe. Il n’est pas possible de choisir les thématiques, ni la langue, mais c’est régulièrement mis à jour.
Dans les paramètres de l’application, il y a 3 fonctionnalités intéressantes. La première est la préférence de la voix. Vous avez la possibilité de choisir le genre et l’intonation, il n’y a pas beaucoup de possibilités, mais ça suffit largement.
Le second paramètre permet de régler une alerte à une heure précise pour démarrer une écoute. Enfin, la troisième option vous permettra de suivre des newsletters, ça fonctionne un peu comme un flux RSS qui agrège les nouveaux contenus dans votre bibliothèque.
Tarification
Le service est basé sur un modèle freemium. L’abonnement de base est gratuit, mais limité à 15 minutes d’écoute, idéal pour une mise en bouche. La version premium est à 8,99€ par mois ou 78,49€ par an. C’est tout de même un budget, mais je pense que ça s’adresse surtout aux « gros » consommateurs qui n’ont pas vraiment le temps de lire. C’est le genre de service qui prend tout son sens en déplacement.
Vous pouvez soutenir Elocance sur Product Hunt ! 😋
Lancer une plateforme digitale peut coûter extrêmement cher… Pour l’internaute, ce n’est qu’un site web sur lequel il peut entrer en relation avec d’autres personnes ou acheter des produits/services. Mais les professionnels, eux, savent que c’est bien plus que ça…
Entre le développement des logiciels, la location des serveurs, le paiement des multiples employés nécessaires à sa mise en place et le budget communication/marketing, la facture peut très vite devenir salée… Oui, investir dans le digital peut coûter extrêmement cher…
Si vous n’avez pas les moyens de financer entièrement votre projet, ne baissez pas les bras. Après tout, c’est aussi grâce à ses incroyables récits de levées de fonds que l’entrepreneuriat numérique a le vent en poupe.
Ne faites pas cette tête… Il est vrai que les banques ont la réputation d’être difficiles mais cela ne signifie pas qu’elles ne financent pas les projets de création d’entreprise.
Pour réussir à convaincre un banquier de vous octroyer sa confiance, votre business plan devra être en béton armé. Aux chiffres hypothétiques, préférez les réalisations concrètes. Si vous avez déjà testé votre idée à petite échelle, cela n’en sera que meilleur.
En ce qui concerne les garanties, essayez de contribuer à hauteur d’au moins 30 %. Comment voulez-vous que la banque investisse dans votre idée alors que vous-même ne le faites pas ?
Vous l’aviez sûrement vu venir des kilomètres à la ronde… Comment ne pas évoquer le financement participatif lorsqu’il s’agit de lancer une start-up ?
Sans internet et l’émergence des nouvelles technologies de communication, jamais ce mode de financement n’aurait pu voir le jour… Il est donc tout à fait normal que le crowdfunding vole au secours des acteurs du numérique.
Aujourd’hui, la version originale s’est vue rajouter deux variantes : le debt-crowdfunding qui fait appel aux prêts participatifs et l’equity-crowdfunding qui permet aux personnes intéressées par votre projet d’acheter des actions.
Si vous décidez d’emprunter cette voie pour monter votre compagnie, vous aurez réellement l’embarras du choix.
À chaque fois que vous passez en caisse d’un supermarché, vous avez un pincement au cœur… Quand vient le douloureux moment de vous rendre à la Direction Générale du Trésor, vous vous exécutez avec la mine renfrognée… Il est temps que les taxes et impôts que vous payez vous servent enfin à quelque chose.
L’État propose de nombreuses aides à tous ceux qui veulent devenir des créateurs de richesses. En fonction des organismes, les supports peuvent se manifester sous la forme de subventions, d’aides à l’installation ou d’exonérations d’impôts.
C’est un coup de pouce très appréciable quand on désire créer son entreprise avec un petit budget. En outre, cela vous rendra la tâche plus facile avec les organismes bancaires. Si la république a consenti à vous accorder un prêt d’honneur, pourquoi ne devraient-ils pas vous faire confiance ?
