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(Infographie) L’impact de la publicité sur TikTok

Photo de cottonbro provenant de Pexels

TikTok est devenu aujourd’hui une plateforme majeure et essentielle dans l’écosystème des médias sociaux. Très régulièrement numéro #1 des téléchargements sur mobile, dépassant même les applications de chez Facebook, TikTok a su instaurer un nouveau mode consommation des contenus. Des vidéos courtes et verticales que les autres réseaux sociaux intègrent progressivement (Instagram, YouTube, Reddit et même Pinterest !), un peu comme les stories à l’époque.

Au-delà du simple fait que les vidéos se consomment et deviennent virales très rapidement, la plateforme offre aux marques une nouvelle vitrine d’exposition pour toucher un maximum de personnes (les utilisateurs y passent en moyenne 52 minutes par jour).

Afin de mettre en évidence cet aspect, l’agence de marketing d’influence Whalar 🐳 a publié une étude sur l’impact de la publicité sur TikTok et de ses implications sur les utilisateurs.


  • Regarder une publicité à la télévision après un visionnage sur TikTok augmente l’imprégnation sur le cerveau de 13%.
  • TikTok réduit l’intention de skipper une publicité.
  • La clé de la réussite sur TikTok est l’attention (il faut qu’une vidéo accroche l’utilisateur en moins de 2 secondes).
  • Le processus de l’efficacité est la suivante : Attirer l’attention ➡ Susciter des émotions ➡ Imprégner les esprits ➡ Réaliser une action
  • Regarder le contenu d’un influenceur sur Instagram est 43% plus mémorable si l’utilisateur est déjà familiarisé avec celui-ci sur TikTok.

💡 Whalar a identifié 9 biais pour réussir sur TikTok ⤵

  1. Raconter des histoires diverses
  2. L’amusement fonctionne mais peut aussi concentrer toute l’attention
  3. Faire appel à des influenceurs pour délivrer le premier message de marque
  4. Développer des récits qui évoquent un large éventail d’émotions
  5. La stimulation visuelle et les émotions améliorent la viralité
  6. Utiliser du texte stimule l’attention
  7. Parler directement aux viewers
  8. Utiliser l’intrigue pour stimuler les réponses
  9. La gamification déclenche l’excitation


D’ailleurs, TikTok a récemment publié une étude officielle (menée par MediaScience, une société de recherche en neuromarketing) sur l’attention des utilisateurs vis-à-vis des publicités sur la plateforme.

Les conclusions sont les suivantes :

  • Les publicités sur TikTok sont engageantes et mémorables, même sur une courte période
  • L’attention et l’engagement des utilisateurs sont capturés tôt
  • Les utilisateurs se souviennent mieux des marques sur TikTok par rapport aux autres réseaux sociaux
  • Les publicités donnent une perception plus positive d’une marque sur TikTok

Lire le rapport de TikTok




Télécharger le rapport complet de Whalar


(Infographie) La perception de la publicité digitale en France en 2021

Photo de PhotoMIX Company provenant de Pexels

À l’heure où les magasins sont à la réouverture progressive en France, durant toute cette période de crise sanitaire les consommateurs ont effectué des achats sur internet bien plus qu’à la normale. Que cela soit pour des produits de divertissement, de restauration ou de mode, presque tous les secteurs ont été concernés. Mais comment les consommateurs ont-ils effectué ces achats ?

L’IFOP a réalisé pour l’agence Ad’s up Consulting une étude visant à mesurer la perception et l’impact de la publicité en ligne auprès des internautes. D’ailleurs, il y a quelque temps, je vous ai présenté sur le blog une étude sur la publicité personnalisée, n’hésitez pas à y jeter un œil ! 😉

Méthodologie : l’enquête a été menée du 17 au 19 mars 2021 sur un échantillon national de 1017 personnes âgées de plus de 18 ans.

Les chiffres à retenir :

  • Sur cet échantillon, 957 utilisateurs effectuent des achats sur internet, dont 415 régulièrement (41%) et 542 occasionnellement (53%).

  • La majorité (30%) font des achats environ une fois par mois.

  • 72% des acheteurs font confiance aux sites internet, mais 28% estiment que les achats en ligne ne sont pas sécurisés.

  • Un français sur deux utilisent Amazon (50%) et Google (49%) pour réaliser un achat.

  • Les moins de 35 ans privilégient Facebook et Instagram, à l’inverse au-delà de 35 ans ce sont Google et Amazon.

  • Principalement, les consommateurs cliquent sur des publicités provenant de Google Ads (45%).

  • 61% des utilisateurs sont plus sensibles aux publications sponsorisées sur les réseaux sociaux.

  • 54% des utilisateurs déclarent être influencés par les réseaux sociaux pour leurs achats en ligne.




Tous les détails sont à retrouver sur l’infographie ci-dessous !

Les utilisateurs veulent-ils vraiment voir des publicités personnalisées en ligne ?

Photo de Marcus Herzberg provenant de Pexels

La publicité en ligne est l’un des meilleurs moyens pour les entreprises de faire connaitre leur service ou leur produit. Mais ça, c’est du point de vue des entreprises, qu’en est-il pour le consommateur ? Rares sont ceux qui veulent être inondés de publicités partout où qu’ils aillent sur le web. Si promotion il y a, celle-ci doit être pertinente vis à vis des besoins du consommateur et c’est là qu’intervient la publicité personnalisée.

Afin d’offrir la meilleure expérience possible, les marques se doivent de connaitre leur cible et pour cela, il n’y a pas trente-six mille solutions, c’est le tracking. Cependant, le fait d’être pisté peut rendre méfiant plus d’un ! D’ailleurs tout récemment, est sortie la version 14.5 d’iOS. Cette mise à jour d’Apple fait beaucoup parler d’elle en ce moment, car elle permet aux utilisateurs d’accepter ou non d’être ciblés au travers des différentes applications, permettant ainsi de recevoir de la publicité ciblée. Très vite, Facebook est monté au créneau, affirmant que les entreprises risquent de souffrir ces changements. D’un côté, Facebook n’a pas tort, car de nombreuses entreprises misent sur la pub pour relancer leur économie, surtout avec la crise sanitaire qui est passée là et de l’autre Apple a également raison, les utilisateurs doivent avoir le choix. Le débat reste ouvert ! 🧐

Afin de mettre en lumière les choix des utilisateurs, Global Witness a missionné YouGov pour mener l’enquête.

Méthodologie : l’étude a été réalisée en ligne auprès de 2 034 utilisateurs français et allemands des réseaux sociaux du 24 février au 1er mars 2021.


• Quelles catégories de ciblage ne devraient pas être autorisées ?



Certaines données peuvent mettre mal à l’aise, les utilisateurs estiment donc que les entreprises ne devraient pas y avoir accès. La majorité des personnes ne souhaitent pas que soient récupérées les données liées à leur revenu (87%), leur état de santé (87%), leur décision politique (84%), leur orientation sexuelle (81%) ou leurs opinions religieuses (81%). Cependant, sur le graphique tous les critères sont au-dessus des 50%, ce qui indique que les utilisateurs y attachent une certaine importance.


• Ce que les réseaux sociaux ne devraient pas permettre de cibler



83% des utilisateurs pensent que les données personnelles qu’ils ont partagées avec un réseau social ne devraient pas être utilisées pour le ciblage. 80% estiment que les entreprises ne devraient pas pouvoir utiliser les prédictions basées sur les données d’autres personnes. Pour d’autres, ce sont les données comportementales recueillies sur la plateforme sociale (75%) ou en dehors (78%) qui ne doivent pas être des critères de ciblage.


• Les utilisateurs veulent-ils voir des publicités personnalisées ?



La majorité des utilisateurs (57%) ne veulent pas que leurs données personnelles soient utilisées pour du ciblage publicitaire commercial ou politique. 26% n’en veulent pas pour des publicités liées à la politique. 11% n’y voient pas d’inconvénient à ce que les marques utilisent leurs données.


• Pourquoi les utilisateurs veulent-ils réduire leur temps passé sur les réseaux sociaux ?



73% des personnes veulent diminuer les réseaux sociaux car ils passent déjà trop de temps en ligne et 42%, c’est parce qu’il y a trop de publicités. À égalité, on retrouve les fake news et la surcharge d’information. La minorité souhaite réduire le temps passé à cause de la façon dont sont utilisées leurs données personnelles et la trop forte présence de contenu haineux.

Voir le rapport complet


Et vous, que pensez-vous de la publicité personnalisée ? Êtes-vous plutôt pour ou êtes-vous réfractaire ? 🤔

(Infographie) Posts sponsorisés : les bonnes pratiques en France

Photo de Negative Space provenant de Pexels

Le marketing d’influence n’est pas nouveau, cela fait des années que cela existe, notamment du côté des créateurs sur YouTube. Entre vidéos rémunérées, produits offerts, promotions… la sponsorisation peut prendre plusieurs formes. S’il y a quelques années les règles qui encadraient ces pratiques étaient assez floues aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Les créateurs doivent faire preuve de transparence, sans quoi ils risquent de lourdes sanctions.

Dans cet article, je vous propose de découvrir les bonnes pratiques à appliquer dans le cas des publications sponsorisées. L’infographie ci-dessous a été réalisée par Influence4You, une des agences les plus populaires en termes de marketing d’influence (et il n’y a pas de sponso ici 😅). Ces bonnes pratiques sont issues du lancement du second observatoire de l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) pour une communication d’influence éthique et responsable.

Afficher clairement la sponsorisation

Stop à la publicité dissimulée ! Il est important d’informer sa communauté si l’on a été payé pour parler d’un produit/service ou si l’on a reçu quelque chose gratuitement pour le présenter en ligne. Si c’est une question d’éthique, cela engage aussi la crédibilité du créateur.

De plus en plus de plateformes proposent des outils pour afficher distinctement ces informations. Par exemple sur YouTube, il y a la fameuse mention « Inclut une communication commerciale« .

Ou encore sur Facebook et Instagram, qui permettent d’identifier des partenaires commerciaux directement dans les publications.

Certains créateurs vont encore plus loin en affichant directement dans leur contenu ce qui a été acheté, offert ou bien payé par une marque. La chaine YouTube de Nowtech en est un très bon exemple !

En cas de dissimulation ou de tromperie envers les utilisateurs, on risque une peine de prison pouvant aller jusqu’à deux ans et 300 000€ d’amende.


Règles de déontologie : communication publicitaire digitale


Copywriting : rédiger pour convertir !

Photo de Leah Kelley provenant de Pexels

Dès lors qu’on fait du marketing digital, connaître les bases du copywriting est essentiel. Posts sur les réseaux sociaux, landing pages et emailings sont autant d’occasions d’affuter sa plume.

Aujourd’hui Boris, Co-fondateur de l’agence Level Up Digital nous propose un article présentant les ingrédients pour un cocktail réussi.

Deux bases au choix : PAS ou AIDA

PAS et AIDA sont deux des frameworks les plus utilisés pour la rédaction sur le web. Pour ceux qui ne connaissent pas ce terme, un framework, c’est tout simplement un modèle. Aujourd’hui ces deux modèles sont utilisés par une bonne partie des opérations marketing sur le web.


1. Comprendre le modèle PAS

Quelques détails sur la partie “Agiter”

Cette étape du framework est essentielle et parfois trop peu élaborée.Vous devez permettre à votre lecteur de visualiser et de vivre cette problématique à laquelle il va s’identifier. 

Pour cela, mentionnez les aspects négatifs impactant sa vie, donnez des détails liés à des sensations telles que des couleurs, des sentiments, des odeurs, etc.

Correctement réalisée, cette étape doit vous permettre de démontrer à votre cible que :

  1. Vous comprenez mieux que quiconque leur problème;
  2. Vous êtes empathique et vous partagez un même problème. Vous établissez donc une relation de confiance;
  3. Vous remettez dans la tête de votre prospect l’importance de ce problème. Il se souvient de la réalité de ce dernier.

Et surtout, si vous maîtrisez autant la problématique c’est que vous devez avoir une solution non ?

Vous l’aurez compris, PAS vous permet d’accrocher votre audience en évoquant une problématique de sa vie puis en lui présentant votre solution comme la meilleure option pour la résoudre.

PAS en action

Prenons l’exemple bien connu du vendeur de matelas :

Problème : C’est quand la dernière fois que vous avez une eu une vraie bonne nuit de sommeil ?

Agiter : Une mauvaise nuit de sommeil nous rend tous irritables. Difficile de se concentrer quand on a le sentiment que son cerveau est engourdi. Aucune quantité de café ne peut d’ailleurs nous débarrasser du brouillard qui nous enveloppe.

Solution : Si c’est le cas régulièrement pour vous alors il était temps de découvrir notre matelas. On n’en fabrique qu’un. Mais il est parfait.

Evolution vers le modèle PASO

Ce modèle à été amélioré en ajoutant une étape dans l’expérience du lecteur : le résultat. (O signifie en anglais Outcome.)

Cette nouvelle étape est intéressante car un achat est généralement déclenché par une volonté de voir un aspect de sa vie changer. Le fait d’ajouter le résultat permet de boucler la boucle. Votre lecteur peut se projeter sur cette transformation.

Ne reste qu’à ajouter une preuve sociale et le tour est joué. Vous aurez un texte accrocheur et très convaincant.

Dans notre exemple précédent, l’outcome à présenter pourrait être présenté sous cette forme :

Outcome: Recevez notre matelas, livré chez vous sous 48h. Vous pouvez re-découvrir dès cette semaine ce que dormir comme un bébé signifie vraiment.


2. Comprendre le modèle AIDA

Aida est l’un des plus vieux modèle marketing et sans doute le plus utilisé à travers le monde. C’est un modèle qu’on doit à Elias St Elmo Lewis qui l’a inventé en 1898. On le retrouve aussi bien dans le journal que pour structurer des publicités à la télévision.

Sur la distinction entre Intérêt et Désir

Il arrive souvent que les phases “Intérêt”et “Désir” soient confondues car elles sont traitées quasiment en même temps.Néanmoins elles ne sont pas identiques. La phase “intérêt” est une phase à caractère informatif. Elle doit démontrer que vous posséder une solution, un service ou un produit qui est bien en rapport avec votre accroche et la problématique de votre lecteur.

La partie “Désir” quant à elle vient jouer sur les émotions. C’est le moment de basculer votre lecteur vers la fin du funnel, de le faire glisser vers cette action que vous cherchez à lui faire réaliser. Dans la phase de “désir” vous allez mettre en avant le résultat actionnable attendu grâce à vous, c’est à dire ce que va en retirer le lecteur.

AIDA en action

Pour changer un peu je vous ai sélectionné un post linkedin de Ludovic Huraux, startuper français connu qui oeuvre activement au lancement de Shapr Founder avec un poste qui a obtenu un bel engagement et construit sur ce modèle :


3. Framework + Storytelling = Le Cocktail explosif

Suivre un framework vous permettra de structurer un texte efficacement. Mais si vous êtes en plus en mesure de raconter une histoire vous aurez alors la combinaison gagnante !

Comme sur un toboggan, vous allez faire glisser en douceur votre lecteur du début à la fin de votre texte en le tenant en haleine.

Voici trois méthodes éprouvées que vous pouvez utiliser pour un storytelling efficace :

I. Transformation

Tout le monde aime les success stories. Ce sont des histoires faites pour que le lecteur se sente bien et soit convaincu que le succès lui est accessible également. En mettant en avant la transformation vous explicitez et valorisez le résultat attendu par votre cible.

Ici il s’agit donc d’illustrer comment on passe d’une situation problématique complexe à laquelle votre cible s’identifie à une situation rêvée. Ou en tout cas une étape clé qui peut conduire à cette  situation.

Comme vous le voyez ici, ça fonctionne très bien en accroche !

II. L’histoire inachevée

Notre cerveau ne supporte pas l’inachevé. Vous pouvez donc utiliser ce biais cognitif en racontant une histoire mais sans la terminer. Cela vous permettra de déclencher une action comme un téléchargement ou encore un suivi de votre compte sur les réseaux.

C’est une méthodologie particulièrement utilisée sur Linkedin. “Si vous êtes intéressé pour en savoir plus, connaître la suite, etc. laissez moi un commentaire !”

III. Polarisation

Une méthode vieille comme Hérode ! Certains média en ligne en ont d’ailleurs fait un fond de commerce. Il s’agit de proposer des sujets clivants qui vont amener les lecteurs à réagir. A partir du moment où vous ne laissez pas votre lecteur indifférent, c’est que vous l’avez engagé !

C’est une méthode efficace, en particulier sur les réseaux sociaux où les algorithmes considèrent les commentaires dans leurs évaluations de notoriété mais également pour les articles de sites ou blogs qui voient leurs performances améliorées sur les moteurs de recherche.

Votre objectif est simple ici : proposer un sujet clivant qui amène un débat. Voici un bon exemple avec Grégoire de Germinal.


4. Derniers ingrédients à saupoudrer

Nous avons évoqué les bases d’un texte engageant. Voici désormais quelques éléments à introduire en supplément dans vos écrits pour obtenir un texte accrocheur et convaincant.

La rareté / L’urgence

Ce levier psychologique est bien connu des professionnels du marketing. Il repose sur le fait qu’une offre limitée va augmenter son attractivité. 

D’ailleurs les spécialistes internationaux du sujet sont les rédacteurs de Booking.com :

On peut trouver cela excessif mais la preuve est là. Ces arguments jouent sur la rareté et impliquent donc une demande importante mais ils créent également un certain sentiment d’urgence. Ce levier joue donc à la fois sur l’intérêt et sur le passage à l’acte.

Lorsque vous le pouvez ne vous privez donc pas d’utiliser ce levier pour améliorer l’efficacité de vos textes.

Un petit dernier exemple d’asphalte parce que bon… ils sont vraiment forts !

L’autorité

Présenter une problématique puis une solution est la bonne démarche pour obtenir du résultat. Cependant, qu’est ce qui prouve à votre lecteur que vous savez de quoi vous parlez ? 

Si vous n’êtes pas une personnalité ou un influenceur, il vous faudra faire vos preuves en posant les bases de manière explicite afin de démontrer vos connaissances.

Le post que nous montrions précédemment de Ludovic Huraux utilise une autre stratégie en se fondant sur les statistiques d’un journal de renom au sein de l’écosystème startup.

Dans un autre post qui a très bien fonctionné il mettait en avant son importante expérience qui lui a permit d’écrire un post sur Linkedin qui a très bien fonctionné :

Il y a donc deux manières principales de démontrer l’autorité :

  1. Démontrer que votre expérience personnelle fait de vous un expert sur le sujet.
  2. Mettre en avant des statistiques établies par une entité de renom dont le sérieux ne sera pas remis en question.

La preuve sociale

Nous avons tous tendance, parfois malgré nous, à fonder nos opinions et nos actions sur les autres. L’Homme a une tendance grégaire, à suivre le comportement du groupe auquel il s’identifie. Ainsi par défaut la preuve sociale captive et convainc à la fois.

Ainsi mettre en avant un nombre important de demandes / ventes ou encore l’avis d’un de vos clients ou d’un expert reconnu sera toujours un élément décisif pour rédiger un texte convaincant.

J’aurais pu vous placarder des centaines de landing qui utilisent des avis clients mais pour changer l’exemple ci-dessus est intéressant car il commence par une citation client. 

Le copywriting exploite d’ailleurs la preuve sociale pour rendre son propos plus impactant. Et ça fonctionne !

Autre exemple ici avec l’excellente landing de basecamp :

Le must have : Le Call to Action

Ne partez pas du principe que votre lecteur sait ce que vous attendez de lui. Utilisez plutôt le théorème qui démontre que moins il y a de réflexion, moins il y a de frein, plus vous avez de chance que votre lecteur effectue l’action que vous attendez de lui. 

Pour reprendre notre image du toboggan, il faut que le chemin suivi par votre lecteur fournisse la direction et la pente pour l’amener, en douceur et sans doute ni effort de sa part, jusqu’à la conclusion souhaitée.

Si vous souhaitez qu’un internaute réalise une action n’hésitez pas à lui dire et lui redire!

En conclusion

N’hésitez pas à suivre les influenceurs sur les réseaux afin de déconstruire leurs posts qui fonctionnent le mieux.

N’hésitez pas non plus à vous faire une checklist en partant du modèle que vous souhaitez suivre et en vérifiant que vous avez bien incorporé un minimum des éléments proposés dans cet article. Cela demande un peu de rigueur au départ mais vous verrez qu’à terme votre copywriting deviendra bien plus plus efficace.


Article invité proposé par Boris Rieunier.

Entrepreneur de longue date et co-fondateur de l’agence Level Up Digital. J’aime challenger les chefs d’entreprises et les aider à obtenir de la croissance grâce au digital. LinkedIn Site web